1. Un tram peut en cacher un autre


    Datte: 16/11/2023, Catégories: f, fh, fbi, inconnu, plage, bain, forêt, magasin, train, amour, Masturbation caresses, nopéné, attache, BDSM / Fétichisme Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... queue tout au fond, et tes dents dans mon cou, viens, viens, jouis !
    
    La vague de plaisir est intense. Sans doute décuplée par les encouragements de Florence, et quelque part, la peur viscérale de dévisser dans le vide au moment suprême.
    
    Il n’en est rien, les mousquetons résistent mieux que moi. Mon retour sur terre, enfin dans les branches, prend du temps. Elle m’a fait monter très haut, dans tous les sens du terme.
    
    Par quelques rotations des reins et des jambes, elle revient face à moi, souriante, les sens apaisés. Reste à nourrir nos corps, avant d’envisager de nouvelles joutes. Ce qu’elle a prévu est délicieux et nous arrivons à le dévorer sans rien laisser tomber.
    
    Une bonne heure plus tard, étroitement enlacés et gavés de plaisirs, nous nous endormons bercés par un vent léger dans les feuilles. C’est ainsi que l’aube nous cueille, les cheveux de Florence caressant mon cou, sa bouche tout près de mon téton droit, qu’elle prend entre ses lèvres pour finir de me réveiller.
    
    Elle ne me laisse toutefois pas redécoller. Il est temps de redescendre, car une fois le jour levé, rien n’exclut le passage d’un forestier ou d’une joggeuse matinale. Je m’extirpe en premier du nid, enfile mes habits à la hâte et laisse la place à Florence pour organiser notre descente.
    
    Ses yeux pétillants et ses baisers très tendres avant de nous remettre en route laissent supposer que le test de vie en espace restreint est réussi.
    
    Quant à moi, je craque de plus en plus pour ...
    ... cette femme. Avec un zeste de crainte pour la suite. Elle a placé la barre, comment dire… assez haut ! Je vais devoir faire preuve d’imagination pour suivre la mise. D’autant que des turpitudes sont au prochain chapitre !
    
    ooo000ooo
    
    L’idée de ce que je veux faire occupe mon esprit depuis quelques jours déjà. Mais la mise en place n’est pas si facile. Avec l’aide de copains pratiquant l’urbex3, je finis par dénicher le lieu presque idéal, c’est-à-dire un magasin abandonné avec vitrine dans une ruelle peu passante.
    
    Les copains m’aident à pénétrer discrètement dans le local, puis à mettre en place le minimum de matériel dont j’ai besoin. Une batterie de bagnole, deux phares en guise de projecteurs, des filtres de couleur, des couvertures et quelques accessoires font l’affaire.
    
    Je donne rendez-vous à Florence tard le soir « pour un spectacle de rue ». Lorsqu’elle arrive, elle découvre une toile d’araignée en corde qui remplit l’espace à l’intérieur de la vitrine. La construction est placée un peu en hauteur. Devant elle se trouve une échelle de corde suspendue au plafond, semblable à celle que nous avons utilisée quelques jours plus tôt dans la forêt.
    
    J’attends quelques minutes pour que Florence réalise ce qui se présente à elle, puis j’entre en scène, nu, partiellement entravé par un entrelacs de cordes. Je me suis laissé juste assez de liberté de mouvement pour gravir l’échelle de corde et placer mes mains et mes pieds dans des liens préparés dans la toile ...
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