1. Un tram peut en cacher un autre


    Datte: 16/11/2023, Catégories: f, fh, fbi, inconnu, plage, bain, forêt, magasin, train, amour, Masturbation caresses, nopéné, attache, BDSM / Fétichisme Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... amoureux qu’elle pose sur une planchette planquée entre deux branches. Dans la nuit, je distingue juste deux flûtes de champagne, une petite bouteille de forme familière et quelques victuailles qu’elle semble avoir préparées en vue d’une nuit qui promet d’être riche en découvertes.
    
    Elle entre alors dans le sac suspendu, saute deux ou trois fois pour en tester la solidité, avant de se déshabiller, pudiquement cachée par le haut du sac. Elle m’invite alors à la rejoindre.
    
    Notre nid d’amour tangue sévèrement pendant que j’y prends place puis me contorsionne pour me dévêtir. Elle me montre à quelle branche accrocher mes nippes. Tout est visiblement parfaitement organisé pour un séjour agréable.
    
    Très agréable, dès lors que, délaissant l’apéro au champagne, elle s’empare de ma bouche et me dévore fougueusement. Je n’ai pas le vertige, mais j’avoue ne pas savoir trop bien à quel point je suis libre de mes mouvements.
    
    Sa peau est délicieusement chaude et parfumée, son corps souple, ses seins avides de caresses et de baisers. Profitant de ma passivité momentanée, elle me caresse partout où elle arrive à glisser ses mains. Je la sens très impatiente de me donner du plaisir et de jouir de moi. Sans doute que le balancement de la cime des arbres sous nos élans érotiques n’y est pas pour rien.
    
    Lorsqu’elle m’estime à point, quelques rotations des hanches, puis du haut du corps lui suffisent pour me tourner le dos. Mon chibre bien raide trouve tout naturellement place entre ...
    ... ses fesses. Je sais qu’elle aime cette manière de me prendre contre elle, de me rendre fou de désir et de se régaler de mon lâcher-prise juste à l’entrée de son intimité pendant qu’elle se caresse.
    
    En se blottissant contre moi, elle me fait sentir les frissons d’excitation que lui procurent mes caresses, les tensions qui traversent son ventre, l’alternance des vagues douces ou fortes qui montent et descendent de ses reins à la pointe de ses seins.
    
    Mes mains sur son intimité, elle me fait percevoir l’intensité de ce qu’elle ressent dès qu’elle a atteint ce niveau de jouissance qu’elle peut prolonger presque indéfiniment.
    
    Elle me guide entre tendres murmures et troublants soupirs. Elle n’aura pas d’orgasme, c’est sans importance. Ce que nous partageons est d’une autre nature, mais la comble entièrement. À la condition que je lui offre mon plaisir viril, qui provoque en elle une émotion particulière, irremplaçable, animale.
    
    D’une voix grave, elle m’excite, exige le glissement de mon sexe entre ses fesses et le haut de ses cuisses, elle veut sentir encore plus fort le basculement de mes hanches.
    
    En amante accomplie, elle sent à chacune de mes pénétrations superficielles à quel point j’approche de l’orgasme. Elle se penche alors autant qu’elle le peut en dehors du sac de couchage pour mieux s’offrir à moi.
    
    Mes mains arrimées à ses seins, ma queue coulissant contre sa fente, je mords sa nuque comme un étalon en rut.
    
    Elle gémit, mais en redemande.
    
    — Encore, ta ...
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