1. Un tram peut en cacher un autre


    Datte: 16/11/2023, Catégories: f, fh, fbi, inconnu, plage, bain, forêt, magasin, train, amour, Masturbation caresses, nopéné, attache, BDSM / Fétichisme Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... retourner. Mes regards respectueux et admiratifs n’effaceront sans doute jamais les cicatrices de l’adolescence. Elle semble toutefois prête à les recevoir comme des compliments.
    
    Après quelques aller-retour entre la plage et le lac, toute la tension du début s’évanouit. Nous nous allongeons sous une couverture légère et nous caressons tendrement.
    
    Les douze coups qui sonnent au clocher d’un village voisin nous surprennent tant le temps a passé vite.
    
    Nous retournons dans l’eau pour donner tout son sens au bain de minuit. Puis je ramène Florence chez elle. Elle me rassure sur ses émotions. Les affres adolescentes sont presque effacées.
    
    Elle est déjà impatiente de m’offrir la prochaine étape. « Ce sera du lourd », annonce-t-elle en riant.
    
    ooo000ooo
    
    Son délire commence de la même manière que le mien la semaine passée. Rendez-vous à 20 heures à son atelier pour une virée en moto.
    
    Elle sort de la maison avec un grand sac à dos, plein d’un truc plus volumineux que lourd. Elle monte sur la bécane et me donne le nord-ouest comme direction générale.
    
    Peu après Mantes-la-Jolie, elle me fait longer la Seine, puis entrer dans le parc du Vexin.
    
    En me guidant d’une tape sur l’épaule du côté où elle veut que je bifurque, elle nous amène profondément dans la forêt, au moment où la nuit est définitivement tombée.
    
    En fin de course, nous nous trouvons à deux pas d’un parcours d’accrobranche désaffecté, mais apparemment encore en bon état. Florence y a travaillé ...
    ... occasionnellement jusqu’à sa fermeture. Elle en connaît encore tous les troncs, tous les mâts, toutes les passerelles. Mieux, elle sait ce qui tient encore debout et ce qui menace de s’effondrer.
    
    Ma mine interloquée l’amuse. En guise d’explications, elle sort un grand sac de couchage de son sac à dos. Visiblement, un modèle à deux places.
    
    — On fait un bivouac en amoureux ? demandé-je un peu étonné de la simplicité du défi.
    — Fondamentalement, oui. Mais en hauteur. Tu vois la passerelle là-bas ?
    — Vi.
    — Ben juste après, il y a une échelle de corde qui monte jusqu’au faîte d’un arbre. C’est l’ermitage où je me retire quand je vais mal.
    — Et l’idée, c’est d’y passer la nuit à deux, à quinze mètres au-dessus du sol.
    — Tout juste. Y passer la nuit, voire plus, si entente. Si nous arrivons à nous organiser dans un si petit espace, beaucoup de choses deviennent possibles à l’avenir entre nous.
    
    Elle me demande vaguement si je lui fais confiance question solidité du bivouac. Elle n’attend toutefois pas ma réponse avant de commencer à grimper à l’arbre, une lampe frontale éclairant faiblement son ascension. Je la suis de près.
    
    Arrivée à la hauteur voulue, elle fixe le sac de couchage à plusieurs mousquetons dont elle connaît visiblement l’emplacement depuis longtemps. Elle arrime ensuite son sac à dos à un autre mousqueton, ce qui le place à portée de main depuis l’intérieur du sac de couchage.
    
    Finalement, elle extirpe du dit sac ce qui ressemble à un pique-nique pour ...
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