1. Embauche


    Datte: 15/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... j'étais un homme assez bien bâti, et elle était une petite femme fragile. Je m’installais sur elle, sentant sa main plonger entre nous pour me guider en elle. Je dois admettre que l’entrée était fabuleuse, humide, ardente et hospitalière. Je voulais être doux pour ne pas lui faire de mal, mais à peine dedans, j’ai senti ses jambes s’enrouler autour de moi et ses bras saisir mes épaules. Elle a mis sa bouche dans mon cou pour me chuchoter :
    
    « Fais-le, chéri. Baise-moi fort. J’aime le sexe sauvage. Pousse bien à fond. Tu peux me baiser aussi fort que tu veux, j’adore ça »
    
    Il n'y avait aucun moyen que je puisse me retenir avec elle en entendant des choses comme ça. J'ai commencé à la baiser plus vite, en la pénétrant plus profondément. Sa façon de me parler crûment, alors que c’était une femme raffinée et élégante, me rendait fou. Elle savait l’effet qu’elle me faisait en poussant de petits cris féminins lorsque mon ventre heurtait le sien. Elle alternait les gémissements et les chuchotis salaces, me complimentait sur la taille de mon sexe, et me commentait l’effet qu’il lui faisait.
    
    « Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps. Je vais venir » Je l'ai prévenue.
    
    « Ne t'arrête pas. Viens en moi, chéri. Ne te retiens pas, je veux tout en moi »
    
    Je ne pouvais pas me retenir même si j'essayais, j'ai senti mes couilles durcir, et mon sperme grimper dans ma bite avant de jaillir en elle, me faisant grogner en poussant aussi profondément que possible. Je me suis ...
    ... vidé, physiquement et émotionnellement. Je me suis affaissé sur elle, à bout de souffle et tremblant de fatigue. J'ai essayé, sans grand succès, de me faire aussi léger que possible afin de ne pas l’écraser. Elle laissa retomber ses bras et ses jambes sur le lit, me libérant de son étreinte. Je roulais sur le lit à côté d’elle, et soudain elle éclata de rire, un rire fripon de femme comblée.
    
    « Je pense que cette séance mérite de figurer dans le livre d’or des records, à la section sportive »
    
    Allongés l'un contre l'autre, nous avons ri comme deux adolescents. Elle m'embrassa sur la bouche, pas un long baiser passionné, juste un petit bisou d'affection :
    
    « Maintenant, je dois m'excuser. Mon comportement n'a pas été approprié, et certaines choses que j'ai dites étaient un peu trop grossières. J'espère que tu me pardonneras. Mon mari aimait que je lui dise des choses salaces, et ça m'est revenu naturellement »
    
    Je la regardais, éberlué par sa tirade. Au début, je croyais qu’elle plaisantait. Mais devant son air le plus sérieux du monde, j’ai compris qu’elle était sincère.
    
    « Il n'y a rien à pardonner. Ce sont des choses que l’on dit naturellement, sous le coup de l’émotion. Ça m’a fait plaisir que tu ressentes du plaisir, et ça m’a motivé. Tu pourras me dire tout ce que tu veux, j’aime ça »
    
    Puis j'ai réalisé, en lui tenant ce discours, que je prenais pour acquis le fait qu'on recommencerait.
    
    Sans hésiter, elle m'a proposé : « Si tu es d’accord, voyons-nous tous ...