La bataille des cinq espions
Datte: 13/11/2023,
Catégories:
fh,
hotel,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
pénétratio,
fsodo,
policier,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... et me suis éclipsé. J’ai pris les escaliers. J’ai grimpé les marches deux par deux jusqu’à l’étage de la suite de l’Aristo sans être essoufflé. Il n’y avait personne dans le couloir, je pouvais m’approcher sans crainte. Devant sa porte, j’ai écouté : aucun bruit. Je me suis accroupi devant la serrure en sortant mon matériel de cambrioleur, un appareil électronique dont on fait glisser un embout plat dans la serrure. J’ai attendu dix secondes avant que le voyant ne s’allume et clignote de vert.
J’ai soudainement eu une sorte d’illumination intérieure : toutes mes missions importantes semblaient se dérouler dans des hôtels ! J’ai tourné doucement la poignée, ai poussé la porte. Il n’y avait aucun membre de sa garde rapprochée dans la chambre. Je m’y suis faufilé. Je suis ressorti deux minutes plus tard, mission accomplie. Ce n’était pas si difficile que ça, finalement. L’attachée-caisse était en évidence sur une table basse, je l’ai ouverte sans aucun souci y trouvant les documents convoités par le Service. Je les ai dérobés. J’ai rapidement regardé dans les autres valises près du mur, j’ai ouvert les tiroirs pour me donner bonne conscience, et jeté un œil dans la salle de bain, il n’y avait rien d’autre d’intéressant. J’ai tranquillement pris l’ascenseur pour me rendre à la chambre de Raïssa, les dossiers sous le bras.
William et elle avaient bossé sur ce dossier, c’était à eux que revenaient les honneurs de la réussite de l’enquête. Devant leur porte, j’ai toqué. Une ...
... fois, deux fois, j’ai ouvert, ce n’était pas verrouillé. J’ai tout d’abord discerné les ombres chinoises contre le mur : une femme mince, aux cheveux fous, aux seins lourds, à la croupe arquée dansant le baladi. Je me suis approché et mon sexe s’est durci. Je revoyais Raïssa nue. Elle chevauchait William. Ses mains à lui caressaient ce corps que j’avais tant aimé. Tous les deux gémissaient, ils se faisaient plaisir, ils s’aimaient, je l’avais bien perçu lorsque je les avais vus pour le brief, je le voyais bien maintenant.
J’aurais pu me racler la gorge, leur faire savoir ma présence. J’aurais pu me joindre à eux. Mais Raïssa a crié en se donnant quelques coups de bassin plus fort que les autres avant de se soulever, laissant le sexe de William esseulé. Raïssa s’est déplacée langoureusement sur le ventre et le torse de son collègue en soufflant puis a enserré le visage de William entre ses jambes. C’est vrai, Raïssa aimait s’asseoir sur nos visages…
Le pénis de William était encore dur, ferme, gros, long, j’ai salivé et ça m’a surpris. Milly suce des bites. Pas moi. Mais celle-ci me faisait envie. Ça faisait longtemps que je n’avais octroyé aucune fellation à un vrai sexe. Je suçais celui en silicone de Malika, mais sentir les veines, la chaleur, flairer le corps, jouer avec la langue sur un méat palpitant, deviner le liquide séminal venir doucement… ça faisait une éternité. Et celui-là, là, juste là, tressautait, car Raïssa dansait de nouveau, mais sur la langue et le nez ...