1. La bataille des cinq espions


    Datte: 13/11/2023, Catégories: fh, hotel, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels pénétratio, fsodo, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... de William, en s’appuyant des deux mains contre le mur. La queue de William, je pourrais la prendre en main, en charge, en bouche… soupeser ses couilles, les lécher, Raïssa viendrait m’aider, nous partagerions ce sexe fier comme nous partagions celui de Charlène…
    
    Mais je me suis retiré en catimini. J’ai déposé les documents dérobés sur le pas de la porte. William et Raïssa souhaitaient vivre leur vie à deux, pour eux deux. Et moi je retrouverais bien Malika. J’aborderai la question avec elle. Peut-être acceptera-t-elle de faire l’amour avec un autre homme, et moi ? Et serais-je transformé en Milly, si c’était le cas ? J’ai refermé la porte de la chambre de Raïssa et William sans faire de bruit. J’ai soupiré. L’image du corps nu de Raïssa en tête.
    
    Suis descendu à ma chambre. Des images de baise plein les souvenirs. La porte 207 était entrouverte, mes sens se sont éveillés soudainement. Notre chambre avait-elle été fouillée ? Étions-nous, Juliette et moi, démasqués nous aussi ? Si oui, Juliette était en danger, dans les bras de l’Aristo et des deux gardes identifiés !
    
    J’entendais gémir, Juliette était torturée ! J’ai sorti un couteau de ma poche, l’ai déplié. Ce n’était pas une grande arme offensive, mais si je m’en servais bien, ça pouvait couper des jugulaires. J’ai avancé, les dents serrées, prêt à poignarder l’Aristo.
    
    Il était bien là, l’Aristo. À genoux sur le lit. Nu. Poilu. Ses bras devant lui. Ses mains agrippaient des hanches. Les hanches de Juliette. En ...
    ... levrette. La bouche ouverte. Criant à chaque coup de bassin de l’Aristo. Elle se faisait défoncer. Royalement. Et l’Aristo, un rictus aux lèvres, exaltait de baiser ma Supérieure aux gros seins. Ceux-ci se balançaient sous elle. Elle avait les yeux fermés, profitait de cette copulation. Combien de temps cela avait-il pris ? Cinq minutes pour grimper les marches, deux minute pour me rendre à la chambre, deux minutes pour dérober, huit minutes pour me rendre à la chambre de Raïssa en ascenseur, douze minutes d’observation et de fantasme, quatre minutes pour redescendre et être témoin de cette noce sexuelle : total, 33 minutes pour que Juliette ramène l’Aristo dans notre chambre et qu’ils se donnent à fond tous les deux. Quelle salope ! Et pour lui, quel opportuniste ! Car elle en voulait, Juliette !
    
    L’Aristo s’est rapidement retiré de la collègue en disant : « Wait a minute, we’ll try something else… » en pointant son sexe à l’entrée de l’anus de ma Supérieure. Celle-ci s’est effondrée en râlant, le visage dans les oreillers et a accepté ce membre pénétrer son cul. Doucement, l’Aristo s’est mis à coulisser en elle, le visage béat, tout en maintenant ses hanches. Juliette couinait, râlant, les doigts crispés aux draps. Puis l’Aristo a chuchoté un : « Okay… » avant d’enculer Juliette de belle manière, et de faire crier celle-ci.
    
    J’en avais assez vu, je suis sorti. Des images de baise plein les souvenirs encore.
    
    Je suis sorti de l’hôtel. Respirer l’air de New York. Seul. ...
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