Esclave de Mère - Ch. 03
Datte: 09/11/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... Pour des patients?
- Pas seulement, quelques soumis aussi, je t'ai dit je me suis entraînée avant
- Tu es délicieuse!
- Je t'ai réservé un petit cadeau pour ce jour unique!
- Oh montre-moi...
Sandrine sort d'un sac un gode au diamètre plutôt raisonnable comme un gros sexe, mais sa longueur est étonnante, peut-être 150 cm, terminé par une culotte à enfiler. M'ayant nettoyé les intestins, elle commence à me remplir avec ce gode qui parcourt les 30 premiers centimètres sans difficilté, évidemment. Puis en le faisant tourner elle l'enfonce doucement au-delà. La sensation est folle pour moi, je me sens envahi de l'intérieur. Sandrine pousse inexorablement, et je vois stupéfait l'intégralité du gode rentrer en moi et remplir mon intestin contraint par le corset pourtant. Seule la culotte reste à l'extérieur.
Je suis allongée sur le dos, les jambes repliées sur la poitrine, toujours avec mes chaussures. Mère vient enfiler la culotte et se met à faire des va et vients d'abord lents, puis plus violents, provoquant en moi des sensations d'une violence folle, je me sens vidée puis remplie entièrement, je râle, mais sans un bruit, les deux femmes riant de me voir ainsi complètement muette et offerte. Mère est de plus en plus excitée, j'ai la tête qui tourne, je voudrais m'évanouir mais sans succès, sa violence n'a d'égal que les mots dont Elle m'affuble, me promettant une vie de souffrance continue, je voudrais lui crier que je suis tout à Elle, que je ne vis que par ...
... Elle, mais rien ne sort. Sandrine prend sa place, avec la même violence, je ne sais pas pourquoi elle déteste les hommes ainsi, mais c'est bon de vivre et subir sa violence. Elle laisse le gode en place, il ne risque pas de sortir tout seul, j'ai l'air ridicule avec cette cullot qui pendant de mon cul.
Je connais leur regard, les deux femmes sont dans un délire de violence dont je vais pâtir. Sandrine presse mes couilles, je pense qu'elles vont éclater, cherchant à les aplatir le plus possible, tandis que Mère fouette ma poitrine d'une mince lanière qui m'arrache la peau à chaque coup. Les femmes se branlent en même temps, et je vois Sandrine s'empaler sur mon gros gode, l'avaler dans son cul en hurlant sa jouissance. J'ai tellement, tellement envie de jouir, c'est la pire des tortures, je ne peux même pas les implorer.
Mère n'y tient plus, et va chercher un sac d'accessoire. Elle sort deux pinces bloquantes, qui écrasent mes tétons, me faisant bondir de souffrance. Sandrine n'est pas rassasiée, et l'aide à bloquer ainsi mes deux tétons. Puis vient la perceuse, je frémis, je voudrais supplier, je me débats, Sandrine écrase mes couilles pour me calmer, elle pose un pied dessus et y met tout son poids, je m'effondre, à moitié inconscient. Elles préférent me ligoter sur la table basse, lieu de mes tortures les plus terribles, les quatre membres aux quatre pieds. Sandrine tire sur la pince de mon téton droit pour le dégager, et sans même hésiter, Mère appuie la mèche et lance ...