Esclave de Mère - Ch. 03
Datte: 09/11/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
Les quinze jours les plus longs de ma misérable vie. Je n'ai presque pas dormi tant les souffrances se sont développées. Je ne quitte mon bâillon que pour boire et manger ma pitance, faite de reste, d'une boîte pour chien, et d'une potion de Sandrine. Ma bouche reste béante, Sandrine pense qu'il ne faut pas plus de deux mois pour que les muscles ne fonctionnent plus, avec l'aide d'une injection de Botox qu'elle m'a faite et va renouveler pour rendre ces muscles inutiles. Je ne pourrais plus que manger de la nourriture prémâchée. Je prends cela comme cela vient, je suis à chaque instant plus convaincue que je mérite parfaitement tout ce qu'elles me font subir, que j'ai une chance folle d'avoir deux si belles femmes, et que le plaisir d'assister à leurs ébats, parfois violents et cruelles entre elles, est un vrai plaisir.
Comme promis par Mère, j'ai changé de gode au bout de huit jours. Mon cul et tout le bas de mon corps étaient anesthésiés. Le gode était nickel, rien ne sort plus par mon cul, et, bénéfice suprême, je ne pète plus! Cela ne semble rien, mais cela permet un port du gode autrement plus confortable. Elle l'a remplacé par un gode de neuf centimètres, la taille intermédiaire n'existant pas. Cela peut sembler peu de passer de huit à neuf centimètres, mais cela augme la surface de près de 25%, et le volume encore plus! Et comme il est assez court, une vingtaine de centimètre, Mère s'est mise en tête de l'enfoncer totalement dans sa femelle, moi.
Mon muscle est ...
... totalement inutile maintenant, mais les chairs doivent s'écarter. Je souffre le martyre de le sentir progresser, et ce n'est jamais assez pour Mère. Elle me force à m'asseoir dessus, c'est juste une torture, malgré la grande quantité de lubrifiant. Je vais et je viens dessus, pleurant à chaudes larmes, la regardant pour la supplier, mais rien n'y fait, je le sais bien, jamais Mère ne revient en arrière.
Les muscles me tirent dans les jambes, la sensation est horrible, alors même que je viens de le mettre, et Mère de le verrouiller au corset. Sous les rires des deux femmes je me déplace à quatre pattes, incapable de me redresser, j'arrive juste à me tenir à genoux. Je pleure tant, mais cela ne provque que des rires de leur part, et Mère me rappelle sa promesse et que je n'en suis qu'au début.
Elle me demande si je veux partir, comme cela, d'un coup, que tout peu s'arrêter. Elle n'a pas prémédité sa demande, Sandrine semble choquée, les deux femmes regardent ma réaction. Je me jette aux pieds de Mère, puis de Sandrine, comme un chien fou, ce serait le pire qui puisse m'arriver, je suis à Elles. Mère me repousse d'un coup de pied violent, souriant à son amoureuse, et lui disant que je suis bien faite pour cela!
Les deux femmes contemplent l'œuvre de Sandrine. Bien qu'encore trop ferme, cela va évoluer, ma poitrine a poussé comme une folle. Je possède deux obus qui pèsent et pendent sous moi quand je marche. La douleur se calme progressivement, ou alors je m'y suis faite. ...