1. Esclave de Mère - Ch. 03


    Datte: 09/11/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... Les auréoles sont étrangement petites et sombres, tandis que les tétons font la taille d'une phalange. Comme Sandrine l'a prévu, ils sont ultrasensibles et le moindre souffle d'air est douloureux. Je n'ai pas tellement eu le temps de m'habituer à avoir un tel poids, mais devant marcher à quatre pattes, cela n'est pas trop difficile. Les deux femmes me massent souvent les seins, ce qui est pour l'instant très douloureux, mais ne sont pas allées plus loin dans leur utilisation. Le résultat est dingue. Mère décide que nous retournions chez C&A pour trouver une brassière et une blouse qui irait avec.
    
    Avant, elles décident de s'occuper de mon sac fermé depuis 15 jours. L'odeur est épouvantable et l'aspect l'est tout autant. Cela ne ressemble à rien, mon sexe est transpercé de toutes parts, comme mes couilles. Elles m'envoient me nettoyer et mettre tout cela au clair. Déjà je bande sous leurs rires méprisants, tellement heureux de récupérer, même quelques instants, ma queue chérie. Elle n'est pas si blessée, et une fois tout nettoyer, a un aspect presque normal.
    
    Sandrine tient des anneaux en main et me les enfile autour de la peau des couilles. Le premier a une barre séparant chaque couille, les suivants viennent alourdir le poids, mais surtout les tirer en les éloignant de la base de mon sexe. Sandrine fait coulisser ma peau, qui est tendue comme un arc, mes couilles sont très dessinées, écrasées et douloureuses, mais elle continue à ajouter des anneaux qu'elle visse ...
    ... ensuite. La douleur dans mes couilles est très forte, elles sont déjà violettes quand elle s'arrête et admire son travail.
    
    - Chaque semaine, un anneau de plus, cela va être splendide! Et en plus les coups du matin et du soir vont être tellement plus douloureux. Tu as voulu rester, n'est-ce pas?
    
    Elle n'attend pas de réponse, tapote mes couilles doucement, me faisant sauter à chaque fois, et surtout craindre le pire pour mes coups du soir et du matin. Ces femmes sont tellement cruelles avec moi.
    
    Sandrine m'enfonce dans l'urètre un long tuyau métallique, très large, qui a du mal à passer. Il fait peut-être un centimètre de diamètre. Elle force, lubrifie, continue à pousser. Les sensations sont étranges, je sens des valves qui cèdent, jusqu'à ce que seule la pointe du tuyau n'émerge. Je dois en avoir 20 ou 25 centimètres en moi. Elle prend un petit élastique et l'étire au maximum pour le laisser se refermer à la base de mon gland. La tension est très forte, cela brûle, le tuyau ne bouge pas. Elle répète l'opération une dizaine de fois sur tout la longueur de ma queue qui ressemble à un saucisson tordu dans tous les sens. Chaque mouvement est très douloureux. Ma queue est retournée entre mes jambes pour disparaître, attachée à la base du gode qui me déchire. Mère m'a remis le huit centimètres pour sortir, car je ne pourrais pas encore marcher avec l'autre!
    
    Dans la rue, je suis carrément indécente et provoque plusieurs accidents piétonniers. Mère a enlevé le corset, trop ...
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