1. Esclave de Mère - Ch. 03


    Datte: 09/11/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... moins provocante nue. La jupe en trente marques bien ma taille, je vois le regard des hommes éberlué. Je les comprends, je m'excite moi-même.
    
    Sandrine nous rejoint, pour fêter ces 15 jours, elles vont me poser mon collier d'esclave. C'est une boutique de piercing vendant de nombreux articles en métal, en particulier des colliers. La taille est vite prise, nous avons de la chance, c'est la plus petite disponible. Le collier est large, peut-être cinq centimètre, épais, et du coup très lourd. Mère choisit une fermeture définitive. Un ressort se ferme et ne peut plus être retiré. Bien entendu je confirme au vendeur mon accord, et Mère sort ma carte d'identité. Il s'y reprend à plusieurs fois pour faire le lien entre ma carte et mon apparence, il hésite, puis prend la carte de Mère.
    
    - Vous êtes sa Mère?
    
    - Eh oui, je ne suis pas parfaite!
    
    - C'est fou comme histoire, j'ai déjà vu plein de choses, mais là cela dépasse mon entendement.
    
    - Cela vous pose un problème
    
    - Oh non, bien au contraire, c'est parfait.
    
    Il laisse Mère et Sandrine fermer le collier qui vient appuyer sur les clavicules. Il est néanmoins bien serré et compresse légèrement mon cou. Un anneau au centre permet d'y attacher une laisse que le vendeur vend avec, une chaîne très courte et une poignée en cuir. Un autre anneau à l'arrière, permet de me tenir en laisse à 4 pattes, ce qui semble bien plus pratique. Je suis aux anges, les miroirs me renvoient une image de folie. Là aussi, tout le monde nous ...
    ... regarde dans le magasin. Nous reviendrons pour des tatouages ou piercing promet Mère. Le vendeur semble impatient. Mère ne veut pas trop provoquer dans la rue, et ne met pas la laisse pour me sortir, mais les réactions sont quand même très explicites, à la grande joie des deux femmes. Je baisse la tête, heureuse malgré tout de provoquer cette excitation.
    
    Je suis mise à nue dès rentrée à la maison, enculée avec le gode de neuf centimètres et la laisse en place sur l'anneau du cou. Comme je n'ai pas encore remis mon corset, Mère décide d'une séance de flagellation sur tout le corps. Je suis suspendue par les mains, les jambes écartelées, c'est douloureux avec le gode qui appuie sur mes organes. Evidemment elles s'en moquent, et je pense qu'elles ne le savent même pas. Les coups de badine pleuvent sur mes magnifiques seins, les striant profondément, me faisant hurler dans le bâillon quand mes tétons sont effleurés. Le ventre n'est pas épargné et je m'évanouis quand une mèche fini sur mes couilles. Réveillé par les deux furies qui n'ont pas arrêté pour autant de me marquer, d'un côté comme de l'autre. Je suis fiévreux, je souffre tant, je me demande comment mon cœur fait pour tenir. Le pire c'est que je les aime chaque fois un peu plus, et je ne sais comment les remercier quand enfin elles arrêtent le supplice.
    
    Mère veut attacher mes seins, mais Sandrine lui demande quelques jours de patience, que tout le produit soit bien intégré, se demandant si mes seins vont continuer à ...
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