Soins, confidences et espoirs
Datte: 03/11/2023,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
fépilée,
piscine,
sauna,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
caresses,
intermast,
uro,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... d’ailleurs…
Elle n’avait probablement jamais pissé devant quelqu’un d’autre, ou trop petite fille alors pour s’en souvenir, et là, ce n’était pas une amie qui se retournerait par discrétion, mais une quinzaine d’inconnues qui ne détourneraient pas les yeux pour si peu. Je reconnais qu’elle a dû se faire violence pour se décider. Elle s’est donc exécutée au prix d’un gros effort, en faisant son possible pour en exposer le moins. Mais un pipi cuisses serrées n’est pas exactement pertinent. Un nouveau passage par la case nettoyage lui aurait été nécessaire si une obligeante vieille dame ridée, aux seins plats et lèvres pendantes, qui s’apprêtait à prendre sa suite ne lui avait tendu une éponge neuve. Ma pauvre Charlotte a été obligée de s’essuyer plus les jambes que lafoune, et là, oui, elle avait de quoi être confuse en suscitant de petits rires étouffés.
J’étais bien, à poil. Les filles ne s’en plaignaient pas. Charlotte, après la honte de s’être pissé dessus par sa faute, avait fini par apprivoiser sa nudité. Elle avait pris langue – au sens figuré du terme – avec une grande femme mince très typée qui travaillait dans le même domaine qu’elle, et, emportée par leur discussion, ne prenait même plus garde quand leurs pointes de seins, aussi tendues de part et d’autre, se frottaient pour cause de mouvements inattendus. Sandra et Agnès avaient retrouvé une ancienne camarade de collège. Passée la surprise gênée, elles s’entendaient très bien et se racontaient leurs vies. ...
... J’avais engagé la conversation avec deux jeunes filles un peu plus curieuses que les autres et je répondais à leurs questions en massant distraitement mon pubis bizarrement lisse. J’ai soudain vu une lueur malicieuse dans leurs yeux et me suis aperçu que j’avais les doigts sur mes lèvres. J’ai porté la main à ma bouche dans un geste d’excuse qui les a fait éclater de rire. J’ai ri moi aussi en haussant les épaules et nous avons simplement échangé encore quelques phrases.
Le vestiaire se vidait cependant, les unes allant profiter du hammam, les autres rentrant chez elles. Il nous fallait redevenir décentes et l’on a des gestes tellement répétés pour s’habiller que l’on n’y pense plus. Comme enfiler sa culotte, par exemple, ce qui nous a brusquement rappelé le dernier conseil de notre guide. La sensation du nylon n’était plus du tout agréable mais très irritante et peu supportable. Les slips ont trouvé une meilleure place dans les sacs. J’avais mis l’obligation de se présenter à l’établissement en robe ou en jupe sur le compte d’une convenance culturelle surannée. C’était une précaution judicieuse : des jeans ou n’importe quels pantalons portés sans culotte auraient été une vraie torture !
Les filles ont saisi l’occasion pour faire aussi une croix sur leur soutien-gorge. J’ai préféré ne pas m’en passer, question d’esthétique. Charlotte n’a pas ce souci, mais le garder lui donnait l’illusion de rester correcte. Comme si l’on pourrait remarquer, une fois vêtues, que dessous ...