1. Soins, confidences et espoirs


    Datte: 03/11/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, fépilée, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, uro, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... sans doute plus banales pour celles qui les découvraient. Un peu vexant, quand même !
    
    Pour me consoler de ce désintérêt, et me donner une contenance, je regardais avec plus d’attention qu’à l’arrivée les dispositions de ce vaste vestiaire féminin. Un simple banc de bois au centre, tout du long, assez large pour s’asseoir dos à dos, une surface carrelée bordée des échelles à chaussures devant la porte d’accès depuis le hall d’entrée, des nattes au sol partout ailleurs, des casiers ouverts sur les murs pour les vêtements. Un bout d’ardoise magique fixé sur chaque case pour noter le prénom de la propriétaire. Rien de plus ni de fermeture, ici la confiance règne. Et sur l’un des côtés, une alcôve dotée de réceptacles en faïence que j’avais pris à première vue pour des bacs de douche.
    
    À la vérité, il s’agissait de commodités pour évacuer un petit besoin impromptu. Deux de ces récipients étaient occupés par des trentenaires ou quarantenaires qui poursuivaient tout bonnement leur conversation avec leurs copines du vestiaire en vidant leur vessie. – Il va de soi que l’on comprenait que ces lieux ne servaient qu’à ce seul usage, mais leur présence m’a rappelé, ma Christine chérie, la description que tu nous avais faite duGymnasium de ton amie Annette –. Ce n’est pas la vue des jets qui jaillissaient dru des entailles roses entre les lèvres sombres qui m’a posé problème. C’est que l’image et le son ont réveillé la mienne, de vessie. Je n’aurais pas dû boire autant de ...
    ... thé.
    
    Cette facilité disponible était après tout bien pratique. Il restait un bac libre, je m’y suis installée sous les yeux ahuris de Charlotte. Je n’allais pas jouer la pudibonderie et faire au public l’affront de lui montrer le cul. Je me suis accroupie de face sans façons comme mes compagnes qui terminaient leur pipi et qui ont bien reçu ma familiarité. Elles m’ont désigné de la main une éponge destinée à l’hygiène qui suivrait la miction, mais n’en ont pas usé, allant se toiletter. Apparemment, je n’étais pas la seule à avoir abusé du thé diurétique. Aussitôt que possible, Sandra m’a imitée et, ses tourments ayant mêmes effets, Agnès l’a rejointe en soupirant de soulagement. Troismouninespâles, et nouvelles, évacuant leur trop plein auraient pu exciter l’intérêt. Eh bien, non.
    
    La procédure doit faire partie des us et coutumes de la maison. Nulle des présentes ne s’est particulièrement inquiétée de ma prestation ou de celle des filles, pourtant à deux sur le même bac. Par contre, plusieurs figures vaguement étonnées se sont tournées vers Charlotte dont l’attitude ambiguë pouvait indiquer qu’elle ne ressentait pas ce banal besoin naturel, ou qu’elle se retenait par blocage psychologique. Sa fille, tout en rendant à Sandra son éponge, lui avait pourtant suggéré que le retour risquait d’être trop long. Je lui ai glissé dans l’oreille que, quoiqu’il lui en coûtât, il serait certainement incorrect de ne pas se plier aux usages du lieu. Au point où elle en était de ses exhibitions, ...
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