1. Soins, confidences et espoirs


    Datte: 03/11/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, fépilée, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, uro, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... nous étions fesses nues, dans la voiture, ou lors de nos emplettes chez le traiteur chinois. Dommage qu’il n’y ait pas eu de traiteur oriental sur le chemin, d’ailleurs : nous serions restées dans l’ambiance des Milles et une nuits ! Hélas, juste un chinois, ou vietnamien, mais j’ai pris des beignets de crevettes… Au cas où notre escapade ait révélé à mon invitée une passion pour le goût du sucré salé aux arômes marins.
    
    La soirée a été gaie et chaleureuse. Nous avions peu échangé dans la voiture, chacune perdue dans ses pensées. Mais à la maison, les souvenirs du jour étaient assimilés et les langues se sont déliées. D’abord nous n’avons eu de plus pressé que de nous alléger des quelques dizaines de grammes de tissus qui nous pesaient. Trop frileuses après la chaude ambiance du hammam pour rester nues, cependant – et peut-être un peu trop précipité pour Charlotte – j’ai exploré mes armoires pour nous vêtir à minima. Deux peignoirs d’été ont fait le bonheur des filles, deux légers tees longs ont fait le nôtre. Un peu juste pour l’une, à vrai dire, vu la différence de taille, mais elle s’en est contentée.
    
    Nous avons beaucoup parlé toutes les quatre, pendant et après le repas, Agnès et Sandra enlacées sur le canapé, les peignoirs entrouverts par inadvertance, et papotant sans gêne avec leurs mères respectives, alanguies dans des fauteuils trop profonds pour des tee-shirts trop courts. L’épilation intégrale a été un sujet de conversation très poussé. À cause des sensations ...
    ... éprouvées, bien sûr, tant du fait de l’acte que des positions que nous avions dû prendre. Nous nous sommes franchement avouées les émotions sexuelles que nous avions ressenties. Elles avaient été de toute façon trop visibles par chacune pour avoir le front de les nier.
    
    Charlotte s’inquiétait de ce que pourrait dire son mari de la disparition inopinée de sa touffe. Je l’ai assurée qu’il en serait sans doute ravi. Mais elle est restée partagée. Elle trouvait cela mignon sur moi et sur les filles, et agréable sur elle, sauf qu’elle croyait que sa vulve en ressortait trop. Nous avons été trois à tenter de la convaincre du contraire, à force de comparaisons visuelles, voire tactiles. Ça a fini en rires et frissons, pas plus. Oui mes chéries, quoique les mains me démangeassent d’appuyer mes caresses, je me suis bien tenue ! Je n’allais pas lui sauter dessus le soir, après ce qu’elle avait dû s’imposer l’après-midi.
    
    Enfin, bien tenue… Disons que j’ai retenu mes gestes, pas mes paroles. Nous avons inévitablement évoqué la question de l’homosexualité après tant de confidences sur nos ressentis intimes. J’ai été assez claire sur mes goûts en la matière, je crois. J’ai profité des caresses, très relativement chastes sur les seins et les cuisses, entre Agnès et Sandra pour expliquer à Charlotte combien une femme sait mieux que quiconque donner du plaisir à une autre. Elle le concevait, malgré son éducation et la culpabilité d’une tentation saphique par rapport à son couple. En tout ...
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