Soins, confidences et espoirs
Datte: 03/11/2023,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
fépilée,
piscine,
sauna,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
caresses,
intermast,
uro,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... mes doigts se perdant profondément à chaque va-et-vient entre ses fesses tandis que ma fente s’emplissait d’autant de mouille que celle entrouverte sous mes yeux et mon nez. Je n’en avais aucune honte et je crois que Charlotte non plus. Nos corps étaient alanguis et nos esprits embrumés par l’ambiance sensuelle qui nous baignait depuis des heures. J’aurais voulu que ce massage érotique ne finisse jamais, sinon sur un orgasme éblouissant. Hélas, il s’arrêta avant la délivrance ! Le seul petit plaisir subsidiaire fut un essuyage subtil et précis, sans changer de position ni de rôle, des débordements… de l’huile, ainsi que nous en avons menti.
Voilà, c’était fini. La lassitude nous a envahies d’un coup, la nostalgie aussi. Reprendre le cours normal de nos vies paraissait détestable et quitter ce havre de délices semblait être une punition. La matrone aux formes plantureuses qui nous avait accueillies et qui était restée presque tout le temps à nos côtés, telle une marraine discrète et attentive au confort de ses protégées, avait deviné ce sentiment de frustration. Elle devint soudain volubile, s’inquiétant de savoir si le séjour avait répondu à nos attentes, espérant nous avoir suffisamment assistées, souhaitant que ses collègues et elle-même nous aient assez satisfaites, exprimant en leur nom et au sien leur plaisir de nous avoir reçues et formant le vœu d’avoir l’honneur de nous revoir très vite. Ouf !
Elle nous a dit chaleureusement à bientôt en ouvrant la tenture du ...
... vestiaire sur le dernier conseil d’éviter le port de sous-vêtements jusqu’au lendemain, et un peu plus tard si possible. Nous l’avons remerciée pour toutes ses attentions, bien sûr, et assurée que nous garderions le meilleur souvenir de cette première visite.
Nous étions seules, en arrivant. Nous nous étions mises nues entre nous. Le vestiaire était plein à présent, et fort animé. Celles qui se déshabillaient croisaient celles qui se préparaient pour partir. Les nouvelles venues les questionnaient sur les potins du jour, leur demandant par exemple si telle ou telle des masseuses était là et marquant leur intérêt ou leur déception selon la réponse. Beaucoup étaient vêtues modestement, les plus jeunes avec quelque recherche, plusieurs portaient un foulard, les plus âgées surtout. Elles me rappelaient mes grands-mères qui ne seraient jamais sorties sans mettre leur fichu. « Une dame comme il faut ne se promène pas dans la rue en cheveux », disaient t’elles !
La foule nous a absorbées comme n’importe lesquelles des habituées, sans réserve ni affectation. Les unes nous souhaitant une bonne soirée, les autres nous saluant d’un petit sourire aimable et continuant tranquillement leur effeuillage. Toutes étaient aussi lisses que nous l’étions devenues. Être rasée ou épilée est peut-être signe d’intégration et de reconnaissance ! Malgré tout, des regards directs ou dérobés évaluaient nos corps, jugeant discrètement nos formes, celles de Charlotte et des filles plus que les miennes, ...