1. « Josy » La petite salope au camping. Épisode 5


    Datte: 30/10/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... viendra plus vite que tu ne le penses. Je saurai être patient. » il avait raison, je ne pourrais plus attendre bien longtemps.
    
    Le jeudi 1er août, le docteur partit seul en vacances chez sa sœur à Quiberon. Avec ma mère, j’avais enfin la liberté de sortir un peu plus longtemps les soirs après le diner. Il était temps pour moi d’accepter la proposition de Marius. Le vendredi matin, je l’avais excité toute la matinée, il faut dire que je m’étais habillée pour l’occasion. Je m’étais maquillée un peu plus que d’habitude, je portais une jupe noire très courte, me moulant mes fesses, un petit chemisier blanc dont j’avais enlevé les trois premiers boutons, laissant apparaître une bonne partie de mon sillon mammaire.
    
    J’étais prête à me donner à lui, j’appréhendais toutefois car je ne connaissais pas la suite. Ferait-il de moi une pute comme il l’avait fait à ma mère ? Toute la matinée, nous n’avons cessés de nous toucher, de nous sourire. À 14 heures, les serveuses arrivèrent et Christiane prit la place du patron derrière le bar. Marius m’appela dans son bureau où il posa ses fesses comme la première fois. J’étais dans mes petits souliers, debout devant lui, ne sachant pas trop ce qui m’attendait : « Tiens ! » Me dit-il, en me donnant une enveloppe où mon prénom était inscrit.
    
    À l’intérieur, se trouvait mon bulletin de salaire avec un chèque de 420 francs, correspondant à ma paye. Puis Marius sortit de sa poche un billet de 50 francs qu’il me tendit : « C’est quoi ça ? » Lui ...
    ... demandais-je d’un ton arrogant, repensant à ce qu’avait vécu ma mère : « C’est une prime ma Josy, tu as super bien bossé, tu le mérites. » J’avais déjà touché près de 45 francs de pourboire ce mois-ci, j’étais folle de joie.
    
    J’avais à peine rangé l’enveloppe dans mon sac à main que Marius, les jambes écartées, posa ses deux mains sur ma taille et m’attira à lui. Par reflexe, je posai les miennes sur ses épaules. Ses grosses paluches étaient désormais sur mes fesses et me tiraient à lui, mon pubis était collé à son entrejambe où je ressentais son désir. Sans aucun doute, mon patron était bel et bien en érection. J’imaginais dans ma tête cette queue se durcir, j’étais à la fois très excitée mais j’appréhendais. Pourtant la situation était trop belle, je l’avais attendu assez longtemps, je mouillais à l’idée qu’il me baise.
    
    Marius excité comme jamais, se jeta sur moi, je le pris par le cou prenant sa bouche goulument, sa langue était chaude, notre baiser embrasé ne dura que quelques instants. Ayant descendu la fermeture éclair de ma jupe, il enleva le bouton et celle-ci se retrouva sur le sol. Il enleva tous les boutons de mon chemisier, j’avais les deux seins à l’air. Il les pétrit un long moment en m’embrassant les tétons. Je transpirais, ma petite chatte trempée ruisselait jusqu’à l’intérieur de mes cuisses.
    
    Marius me souleva comme une plume et me déposa sur le bureau avant de baisser ma petite culotte puis s’accroupit. En quelques minutes, j’étais assise nue devant ...
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