-
« Josy » La petite salope au camping. Épisode 5
Datte: 30/10/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds
... dans le cabinet de Jean-Louis. Quant à moi, je prenais mon pied, Christian était d’une résistance incroyable, il semblait ne pas vouloir débander. Par la même occasion, j’avais fait mon job, en leur disant que je travaillais au bistrot de la place. Deux jours plus tard, ces deux parisiens s’étaient faits des copains et des copines dans le camping. Ceci eut pour effet d’augmenter la clientèle du bar. Quant à nous, Gislaine satisfaite de sa première fois en redemandait. Nous avions pris l’habitude de venir passer nos après-midis avec cette bande de jeunes. Nous trouvions toujours un petit moment d’intimité avant de rentrer à la maison. Pendant la première quinzaine de juillet, il y eut toute une ribambelle de jeunes au bistrot de la place, c’était devenu leur quartier général. Bernard ayant une autre copine, Gislaine y venait également, elle était belle et très attirante, elle repartait souvent avec un nouveau prétendant. De mon côté, ayant la possibilité de prendre mon pied tous les jours avec Christian, j’étais satisfaite. Il eut même le droit d’accéder à mon petit trou, c’était sa première fois par là et en fut plus que ravi. La discussion que nous avions eu dans la camionnette avec Marius n’était plus d’actualité, il me voyait bien, depuis deux semaines repartir avec Christian main dans la main, à la fin de mon service. Marius devenait jaloux, cependant je m’étais promise d’attendre fin juillet. Je le sentais bien tourner autour de moi pendant toute la matinée. ...
... Mon nouveau copain me permettait de repousser les ardeurs de mon patron. Cela avait encore duré une semaine, jusqu’au départ de Christian. Ne désirant pas restée seule, j’avais cédé aux avances de Jean-Pierre, un célibataire rémois de 25 ans. Ce jour-là, toute la matinée il fut derrière moi et insista une fois de plus. À la fin de mon service, je venais de reprendre mes affaires dans la réserve, Marius qui m’attendait me pris à bras le corps dans le petit couloir : « Dis-moi Josy, baises-tu aussi avec ce mec ? » Je lui avais, une nouvelle fois souri, l’avait gentiment repoussé et en lui caressant la joue, je répondis franchement afin qu’il sache que je n’étais plus une pucelle mais une jeune fille qui prenait du plaisir : « Oui Marius ! Mais j’ai assez du docteur André pour me faire la morale. »— Ce n’est pas la morale que je te fais, je veux te protéger. Je t’avoue, je te désire, tu me rends fou. J’ai envie de toi. — Enfin Marius ! Vous pourriez être mon père et vous êtes mon patron, ce ne serait pas convenable. Le champenois ne me plaisait pas, j’avais vite rompu, il n’était qu’un prétexte, je désirais de plus en plus Marius et j’avais hâte de me retrouver seule avec lui. Je ne savais pas si j’en étais amoureuse mais ce colosse me rendait dingue. Je pensais à lui toutes les nuits. Au fil du temps, Marius s’en rendait compte, j’étais comme une chatte en chaleur, son contact me rendait folle, je me frottais à lui à chaque occasion. Il m’avait dit une fois : « Ton tour ...