Grosse(s) cylindrée(s)
Datte: 29/10/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
grossexe,
forêt,
entreseins,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
candaul,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... seriez pris autrement. Et si vous vouliez faire une crise de jalousie, votre attitude serait différente, même si vous faites partie de la bonne société.
Il se met à sourire :
— Je constate avec plaisir que nous sommes sur de bons rails. Non, je n’ai pas prévu de divorcer.
À ces mots, Magalie pousse un gros soupir de soulagement. Son mari continue :
— De toute façon, je savais que ma femme avait le feu au cul, comme on dit vulgairement. Ne faites pas cet air étonné, ma chère épouse : j’ai convolé avec vous en connaissance de cause.
La chère épouse rougit, et ne dit rien. Je pense que c’est elle qui a le plus à perdre dans l’histoire. Je me demande si son mari n’a pas laissé faire sa femme pour mieux la coincer ensuite. Tous les deux viennent d’une bonne famille bourgeoise, mais avec ce qui vient d’arriver, c’est lui qui possède l’ascendant sur elle.
Il n’empêche qu’entendre des époux se vouvoyer me surprend quand même, nous approchons pourtant du second millénaire. L’homme poursuit :
— Quant à la jalousie, c’est un sentiment que je préfère ne pas subir, c’est inconvenant. Je crois que vous êtes d’accord avec moi, cher ami ? Vous-même ne semblez pas être sujet à ce genre de sentiment, si j’en crois votre vie assez agitée.
— En tant que célibataire confirmé, je préfère jouir des joies de la vie, plutôt que de me tourmenter… Sauf quand il faut remplir la feuille d’impôts…
Le mari de ma maîtresse se met à rire :
— Hélas, mon bon monsieur, nous en ...
... sommes tous là, dès que nous avons un peu d’argent.
— Je crois savoir que vous en avez un peu plus que moi, voire beaucoup plus.
— Vous croyez bien savoir. C’est vrai que j’ai largement de quoi vivre, jusqu’à la fin des temps, oserai-je dire.
Puis il s’adresse à sa femme :
— Je dois reconnaître que cette tenue noire en cuir vous va bien. Je suis déçu que vous ne m’en ayez pas fait profiter, ma chère. D’autant que ce n’est pas la première fois que vous vous habillez de la sorte.
— Je… je ne pensais pas que ça pouvait vous plaire, Jean-Henri… D’habitude, vous préférez les robes de couturier, avec des plis et des contre-plis.
— C’est vrai, mais l’un n’empêche pas l’autre. Et un peu de changement ne fait pas de mal.
Le mari se tourne vers moi :
— Comme vous le savez, ma chère épouse est assez salope. Ne protestez pas, j’en sais quelque chose, puisque je profite souvent de ses dispositions en la matière. J’ai auparavant vécu avec une nonne, je sais faire la différence. Rien de tel qu’une bonne salope pour vous rajeunir !
— Oh, Jean-Henri ! !
— Regardez-vous, ma chère, vous paraissez avoir dix à quinze ans de moins, parce que justement, vous êtes une gourgandine. Le vice conserve bien.
— Oh ! Je… euh…
Les yeux fixés sur Magalie, le mari raille :
— C’est bien rare que vous ne soyez plus capable de répondre par une longue phrase…
Puis il pivote à nouveau vers moi :
— Dans des temps plus anciens, je vous aurais jeté mon gant à la figure, et nous aurions réglé ...