Grosse(s) cylindrée(s) - Histoires de Sexe

Grosse(s) cylindrée(s)

... ai déjà vu des vertes et des pas mûres, je ne m’attendais certainement pas à la suite des événements.

Clap, clap, clap !

Quelqu’un est en train d’applaudir. Intrigué et surpris, je me tourne vers l’endroit d’où semble venir le son. Toujours agenouillée devant moi, Magalie en fait de même, abandonnant ma verge qui était si bien au chaud.

— Mon… mon… mon mari ! !

Ah, merdoum de crotte à bouse ! Qu’est-ce que ce gugusse fout là ? Nous voici fourrés dans une situation bien embêtante(restons polis) ! Encore heureux que le mari de la dame n’est pas bien costaud, ce n’est certainement pas lui qui me mettra une dérouillée, c’est certain. De plus, il a environ deux fois mon âge, et je suis deux fois plus large que lui. On va dire que ça compense.

Non, ce qui me chiffonne, c’est qu’en plus d’avoir une canne en main, le mari a le bras très long, nettement plus long que le mien, et je ne voudrais pas perdre ma petite affaire parce que j’ai lutiné avec sa blonde, si affriolante soit-elle. Je sens confusément que, pour garder ma concession, il me faudra faire des concessions. Car je ne peux quand même pas l’occire sur place !

Bien que… mis à part nous trois, il n’y a personne dans le coin… Je range cette solution peu légale dans un coin de ma tête. Je ne suis pas un barbare, même si je suis un motard ! Mais bon, on ne sait jamais…

En attendant, je remballe mon attirail le plus dignement possible afin d’être plus présentable, car même si j’ai un beau piston entre les ...

... jambes, le laisser à l’air ne m’avantagera pas dans ce qui va suivre. De son côté, Magalie se redresse puis se réajuste à vitesse grand V. Je sens qu’elle aimerait dire un truc comme « ce n’est pas ce que tu crois », mais comme elle est tétanisée, aucun son ne sort de sa bouche.

Je prends la parole :

— Bonjour, Monsieur Desfontaines. Il est rare de rencontrer un homme tel que vous dans les bois…
— Bonjour de même, Monsieur Damaison. Comme vous le constatez, je ne suis pas toujours enfermé entre quatre murs.
— Vous avez raison, il convient de prendre l’air de temps à autre, ça fait du bien. Que me vaut le plaisir de votre visite dans la clairière de mon adolescence ?

Appuyé sur sa canne, le mari sourit :

— Je constate avec plaisir que nous sommes entre gens civilisés, vous n’avez tenté aucun geste inconsidéré ni menace à mon encontre.
— Je reconnais que l’idée de vous occire est passée fugacement dans mon cerveau, mais ça n’aurait pas été raisonnable.
— Non, en effet, ce ne serait pas raisonnable, d’autant que je ne suis pas venu seul. On m’attend…

Je regarde avec attention derrière lui, et je crois distinguer au moins deux silhouettes un peu plus loin en retrait. Oui, j’ai bien fait de m’abstenir. De plus, je ne suis pas un assassin. Comme je suis plutôt un commerçant dans l’âme, je suggère :

— Je suppose que nous allons trouver un arrangement, n’est-ce pas ?
— Qu’est-ce qui vous fait croire ça ?
— Si vous aviez voulu un constat d’adultère, vous vous y ...