Faiblesse éthylique
Datte: 28/10/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: J A, Source: Hds
... glissais lentement vers un état de douce euphorie.
Il commença par poser sa main sur la mienne qu’il la caressa doucement, puis elle se posa sur mon genou et remonta lentement sur ma cuisse. J’étais ivre et ses attentions ne me paraissaient pas déplacées, mais agréables et stimulantes au contraire. Sonia me lançait régulièrement des regards et semblait ravie de la tournure des événements.
J’avais de plus en plus chaud et quand j’émis le souhait d’aller prendre l’air sur la terrasse, Serge ne se fit pas prier pour m’accompagner. Il me prit par la taille et m’aida à sortir car le sol tanguait sous mes pieds. J’étais bien dehors au frais, il m’avait enlacée pour m’éviter tomber et me tenait serrée contre lui. Je me laissais aller et posais ma tête sur son épaule. Je ne vis pas venir son baiser lorsqu’il se pencha vers moi et m’embrassa tendrement. Puis sa bouche s’empara avidement de la mienne et je répondis tout aussi violemment, ma langue venant rejoindre la sienne.
Je ne sais pas combien de temps nous restâmes dehors à nous embrasser, mais d’autres invités sortirent bruyamment, ce qui me fit sursauter et me sépara de Serge. Je restai à distance pendant un moment, en essayant de reprendre mes esprits. J’avais trop bu et je faisais n’importe quoi, je devais partir au plus vite. Je profitai du moment où il était accaparé par une autre invitée pour me rendre dans la chambre où nous avions laissé nos vestes.
J’étais en train de chercher la mienne dans la pile qu’il y ...
... avait sur le lit, quand je sentis une présence derrière moi et une main se poser sur ma hanche.
- Tu veux déjà partir ?
- Oui… oui je dois rentrer.
- Quelqu’un t’attend à la maison ?
- Non… non pas ce soir, mais je suis fatiguée.
- Reste encore un peu, je te ramènerai après.
Serge me fit pivoter, tout en me caressant et il m’embrassa à nouveau. Ces sensations m’envoyèrent une décharge au creux des reins, j’étais excitée, très excitée. Ses mains caressaient tout mon corps et s’attardaient sur mes seins. Il me poussa et me coucha sur le lit à côté de la montagne de vestes. Une de ses mains se fit plus entreprenante, remonta le long de ma cuisse et atteignit mon entrejambe. J’ai honte de le dire, mais je coulais comme le miel. Doucement il passa sa main dans ma culotte et entreprit de me caresser. Je gémissais au comble du bonheur. Il me pénétrait avec deux doigts puis il revenait me caresser le clitoris, je n’allais pas tarder à jouir. Il ôta sa main, se releva et commença à m’enlever ma culotte. Ce fut à ce moment-là que j’eus un éclair de lucidité. Non ! Je ne pouvais pas faire ça, j’aimais Dom. Je me relevais et le repoussais violemment.
- Non, ne me touche pas !
- Mais enfin ! Tu en as autant envie que moi, ne dis pas le contraire.
- Non c’est fini, lâche-moi, je dois m’en aller.
Le beau Serge essaya encore d’argumenter mais je m’enfuis, morte de honte en repensant à ce que j’avais fait et pire, à ce que j’avais failli faire. Je rentrai en taxi ...