Vague scélérate
Datte: 24/10/2023,
Catégories:
ffh,
vacances,
voyage,
bateau,
Oral
pénétratio,
aventure,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... dard. Elle est lente et constante comme un chamelier, pétrissant elle-même ses tétons érigés. Somptueuse et délicieuse. C’est l’exigence de mon désir impérieux qui me la fait retourner à quatre pattes pour m’offrir une levrette endiablée dans ce cul si merveilleusement pommé et généreux. L’une tient du mannequin suédois, l’autre de l’actrice italienne des années soixante. Encore une fois, joli doublé, le roi de la pâte de luxe ! C’est le bruit du bois déchargé par Laura qui nous tire de la tendre étreinte qui a suivi nos ébats.
— Alors ma petite Frane ? Heureuse ? Tu m’en as laissé pour ce soir, j’espère, et tu ne râleras pas ?
— On verra, répond la cadette boudeuse.
Après un dîner sommaire de fruits et de poisson grillé, nous rentrons sous la tente à la lueur du feu en extinction. Laura prend son tour rapidement, m’enveloppant de son corps de liane. Affamée, délirante. En levrette, je cherche instinctivement le corps tendre de Frane et trouve sa main entre les cuisses, en pleine masturbation. Je la remplace. Divin moment durant lequel je m’évertue à mener ces deux beautés à l’extase, mais c’est épuisant.
C’est fou comme des gonades bien vidées peuvent donner la pêche. Je me réveille le dernier, certes, mais pétri du désir de donner du bonheur à mes deux compagnes. D’abord, ce sont les crabes, curieusement très nombreux sur les rochers ce matin, que je collecte aisément pour un succulent repas, nous les faisons cuire à l’eau de mer. Et puis sur l’épave, je donne ...
... du tournevis pour démonter des accessoires, l’essentiel ayant déjà été récupéré. Ce sont d’abord les miroirs, deux petits et un grand, pour que les belles puissent se pomponner et moi me raser. Ensuite, ce sont des toilettes, elles seront plus confortables qu’un simple trou dans le sable. Elles sont légères, en acrylique, on les remplira d’eau de mer et une tranchée permettra de disperser le tuyau de déjection dans une fosse à plusieurs mètres. Pas de solution en revanche pour remplacer le papier revenu à l’état de pâte, il faudra continuer de se laver le cul dans le lagon.
Le regret de ne pas voir mes splendides maîtresses dans la nuit de notre tente me pousse à tenter de récupérer l’éolienne la moins abîmée, sur l’arrière du flotteur le moins touché. En redressant au briquet deux pales de plastique légèrement voilées, le générateur semble fonctionnel. Des heures de travail ensuite pour arracher des mètres de câbles ; qui me conduisent à une armoire technique contenant des batteries de servitudes : éclairage en douze volts, onduleur pour les rasoirs et sèche-cheveux, régulateur couplant les éoliennes, les panneaux solaires inclus dans le toit et la génératrice du moteur diesel. Les batteries au lithium sont étanches et sans entretien, potentiellement encore opérationnelles. J’en prends une, douze bons kilos, quelques spots LED trouvent place dans mes poches. Une journée pour démonter tout ça avec délicatesse, une autre pour remonter un « bricolage » éolienne-batterie, ...