1. Une journée lubrique


    Datte: 23/10/2023, Catégories: fh, extracon, voisins, fépilée, hotel, amour, BDSM / Fétichisme Oral québec, amouroman, Auteur: Rb07, Source: Revebebe

    ... lit pour donner à la pièce une impression de volume, je me vis ainsi presque nu, mon abdomen tendu par la pose, découvert de vêtements, ma verge dure, entrant et sortant de sa bouche. Vêtue que de ses souliers, je la voyais penchée sur moi, la croupe relevée au-dessus de ses jambes magnifiques. Les sons qu’elle émettait me laissaient croire qu’elle se délectait autant que moi de ce jeu lubrique. Je commençai à osciller du bassin pour suivre ses mouvements, les amplifier sans pour autant les accélérer. Chaque aller-retour était d’un bonheur divin, et je tenais à faire durer le plaisir encore et encore.
    
    J’étais appuyé sur mes mains, poussant mon bassin vers Sophie à un rythme régulier. Au début, Sophie conservait ses mains autour de mon sexe, le massant en même temps qu’elle le suçait et le léchait. Après un temps, elle le lâcha et posa ses mains de part et d’autre de mes cuisses. Ainsi positionnée, je compris qu’il devenait plus difficile pour elle de conserver un rythme régulier. Peu à peu, elle diminua l’amplitude du mouvement de sa tête, ce qui me força à augmenter les miens. De ce fait, j’eus l’impression de commencer à pénétrer sa bouche plutôt que d’être dans la position de celui qui se faisait prendre. La transition tout en douceur me fit durcir davantage et prendre encore plus de volume. Sophie me faisait sentir dur, long et puissant, et l’image de nos corps se reflétant dans le miroir me parut incroyablement érotique. Je m’enfonçais dans sa gorge dont la ...
    ... profondeur me surprenait, pour me retirer jusqu’à la commissure de ses lèvres, ce qui me faisait entrevoir mon gland bleuté de temps à autre. Ma queue, cette longue tige de chair luisante, brillait sous nos liquides mélangés et le soleil qui emplissait la pièce. Dans cette position digne d’un film porno, mais qui n’en avait nullement la vulgarité ni la superficialité, qui était sensuelle, sentie et accueillante, Sophie me faisait l’amour de sa bouche, et je la pénétrais ardemment, de plus en plus puissamment.
    
    Je ne savais pas si je poussais trop loin dans sa bouche mon sexe de plus en plus au bord de l’explosion, mais je savais que dans sa position elle avait tout le loisir de s’éloigner de moi si elle se trouvait inconfortable. Nous n’étions unis que par le lien bucco-pénien, lèvres-verge, langue-gland, selon le point de vue, mais aucune autre partie de nos corps ne se touchaient. Je la regardais m’accueillir en elle, parfois directement, de face, parfois par le profil qui m’était reflété. Cette pénétration inattendue allait bientôt me faire atteindre le ciel. Je sentais monter de tout mon abdomen et mes testicules un incroyable plaisir, qui convergeait de plus en plus vers ma queue, qui se gonflait et enflait encore, comme si c’était possible. Je sentais parfois les dents de Sophie sur ma peau, malgré ses efforts pour me garder bien en contact avec ses seules lèvres. Le volume que j’occupais devenait pour elle plus ardu à accommoder. Nos soupirs se suivaient dans leur ...
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