Chapitre III - La cascina.
Datte: 21/10/2023,
Catégories:
fhh,
uniforme,
grossexe,
campagne,
autostop,
train,
facial,
Oral
délire,
Humour
aventure,
fantastiqu,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... j’éprouvais à son égard… Je sentais que l’impétuosité de mes élans pouvait m’entraîner vers des zones de tumultes que je me savais incapable de contrôler. Grenouille, dégage… !
Sentant, sûrement, mon regard sur elle, elle se tourna, un instant vers moi.
— Je ne m’y ferai jamais !
Avec son joli rire.
— Pourtant, je suis là !
Je posai ma main sur sa cuisse que je caressai doucement…
Elle porta son regard sur l’endroit où se trouvait ma main, jeta un coup d’œil rapide vers moi, comme pour me regarder. Imperceptiblement, je sentis sa respiration changer, s’alentir et s’approfondir en même temps que l’expression de son visage, subtilement, se transformait. Sa bouche s’amollit et l’espace d’un instant, je la vis fermer les yeux alors qu’elle avalait sa salive…
J’accentuai ma caresse, glissant ma main au niveau des plis émouvants qui soulignaient son entre-jambes, et la posai sur la petite motte renflée de son sexe, bougeant à peine mes doigts sur le tissu rêche. Je pouvais sentir la tension perfide qui l’envahissait.
Elle se concentrait sur sa conduite, alors que je la savais gagnée par un trouble profond. Ce jeu m’excitait…
J’accentuai ma caresse, Elle se crispa un peu plus, sur un soupir, et inclina légèrement sa jolie tête vers l’arrière, abaissant un instant ses paupières, alors que les adorables petits seins qui tendaient le T-shirt se soulevaient sous l’effet d’une inspiration plus profonde - presque un sanglot. Elle se mut légèrement, sur le cuir ...
... du siège, dans un mouvement d’involontaire lascivité. J’accentuai la pression de ma main.
Elle eut un « Oh ! » à peine audible, mais qui me montrait déjà à quel point elle était remuée par l’appel d’un désir qu’elle ne pouvait plus réprimer. Elle porta une main à son cou et l’y appuya, comme pour en chasser une gêne, puis eut un mouvement des épaules qu’elle contracta et relâcha lentement dans un profond soupir. Elle jeta vers moi, un regard voilé, furtif et interrogateur, sa jolie tête dodelinant doucement dans un mouvement incoercible qui montrait à quel point son vertige l’accaparait.
Je déboutonnai son jeans et caressai son ventre, descendant ma caresse sous le string. Du bout de mon médius, j’accédai à son clitoris que j’effleurai légèrement, la faisant doucement geindre à chaque attouchement. Je m’étais penché sur elle et, m’enivrant du parfum de sa chevelure, laissai ma bouche courir sur son bras et son cou, mordillai le coquillage de son oreille. Son souffle s’était accourci, ses soupirs s’étaient faits intenses, elle ne pouvait plus contenir de légers bruits de gorge auxquels se mêlaient maintenant ses gémissements.
Je ne l’avais vu sourire à aucun moment… le grand écart que je l’obligeais à faire, entre la concentration qu’exigeait la conduite et l’abandon que demandaient mes lascives caresses, l’excitait au plus haut point, mais un niveau maître de sa conscience continuait à maintenir, aiguë, sa vigilance.
Je me redressai et commençai alors à baisser son ...