1. « Josy » : La petite salope tombe de haut. Épisode 26


    Datte: 21/10/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... nuits du lundi au jeudi.
    
    Philippe était revenu de l’armée totalement métamorphosé. Tant sur le plan mental, avec une grande confiance en lui et une belle assurance, que sur le plan physique. Avec ses cheveux courts, sa pilosité accrue et une musculature transformée, ce n’était plus le gamin que nous avions connu. Il était devenu un homme, un playboy je dirais. Avec l’absence régulière de mon chéri, je m’ennuyais toute seule dans cette grande maison. Ce fut tout naturellement que Philippe passait à la maison, je lui avais même réservé une chambre chez-moi où il venait quand il le désirait.
    
    Un an s’était encore écoulé, je venais de fêter mes trente-ans et Jean-Lou ne désirait toujours pas se marier. J’avais donc arrêté de prendre la pilule et je faisais porter le capuchon à mon amant afin de tomber enceinte. C’était la solution que j’avais choisie afin que mon chéri se décide enfin à m’épouser. Cependant, même de cette manière, je n’y parvins pas. Fatigué soi-disant, il me faisait moins l’amour les dimanches-soir et lorsqu’il était un peu plus disposé, il préférait la sodomie. Étant un homo pur et dur, je pouvais le comprendre, seulement, je voulais porter son enfant.
    
    Après une année d’attente à me faire l’amour occasionnellement, en principe le mercredi et quelques fois dans la semaine. Philippe voyant que je ne voulais pas me séparer de mon chéri, s’était enfin décidé, après plusieurs semaines, de sortir avec la fille d’un client d’Alain, qui ne cessait de lui ...
    ... tourner autour. Isabelle avait son âge, elle était une jolie jeune femme et bien faite ce qui ne gâchait rien. Il était venu me la présenter un soir à la discothèque en lui disant : « Josy est ma cousine, une grande sœur pour moi. » Je n’avais pas démenti, car nous nous étions mis d’accord, lorsqu’il m’avait parlé de sa petite amie en spécifiant qu’il m’aimait toujours.
    
    Tant qu’il venait coucher avec moi, la nuit du mercredi, cela me gênait moins. En effet, j’avais tout de même accusé le coup, néanmoins, je n’avais pas refusé qu’il continue de vivre à la maison et Isabelle venait de temps en temps passer la nuit avec son amoureux. Je lui avais tout appris, Philippe avait fait d’énormes progrès au niveau du sexe, ils dormaient dans la chambre voisine de la mienne, ça m’excitait lorsque je les entendais baiser, sans que je puisse y participer, Isabelle ne parvenait pas à se retenir de crier quand elle montait 7e ciel. J’étais quelque peu jalouse.
    
    Dans les années 1980 avec l’arrivée du disco, c’était une vraie folie. Nous avions même commencé à ouvrir les jeudi-soirs et un mercredi sur deux. En seulement trois ans, notre affaire était devenue très florissante, elle fonctionnait à merveille. J’avais ce que je désirais, mon dressing était rempli de vêtements de luxe, de nombreux sacs à main, les souliers et escarpins s’entassaient sur les étagères. Sans parler des jolis bijoux de valeur et des robes de soirée, que je portais lors des réceptions où j’étais invitée souvent avec ...
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