1. « Josy » : La petite salope tombe de haut. Épisode 26


    Datte: 21/10/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Après le départ de Philippe au service militaire en Afrique, pendant un an, je recevais ses cartes postales toutes les semaines, cela me faisait chaud au cœur, ce jeune garçon ne m’avait jamais oublié, il m’aimait. Pour mon équilibre sexuel, n’ayant que Jean Lou le dimanche soir, j’avais besoin de rencontrer Kamel l’électricien dont le phallus hors normes, me faisait grimper aux rideaux. En effet, ce tunisien était un amant exceptionnel. En une heure et demi, il me baisait plusieurs fois, me sodomisait et il était capable de me faire jouir pleinement, jusqu’à six, voire sept fois. Désirant revivre ces purs moments de baise intenses, je revenais le voir plus souvent. J’étais insatiable, s’apercevant qu’il avait lui aussi quelques difficultés à me satisfaire, il fit appel à son cousin.
    
    Ahmed était du même acabit, avec un sexe moins long mais tout aussi épais. Résidant à Lyon, il n’était pas présent à chaque fois, cependant lorsque, ces deux tunisiens m’entreprenaient en me baisant par tous les trous, je criais comme une folle. Doubles pénétrations, doubles vaginales et doubles anales était devenue une habitude pour moi. C’était gigantesque, je prenais des orgasmes incroyables. Ces types faisaient de moi leur jouet, je devenais une poupée gonflable pour mon plus grand plaisir. Ce fut la raison pour laquelle, je n’avais pas refusé, à trois occasions, d’être aux prises avec eux et un de leur amis, tout aussi bien monté.
    
    Chez Kamel, j’avais connu pour la première fois : un ...
    ... gang band avec toute une bande de jeunes portant des cagoules. Une bonne dizaine que je dus sucer en me faisant baiser ou sodomiser. Je n’avais jamais reçu autant de sperme sur moi ou dans ma bouche que ce soir-là. Comme je vous l’avais dit dans le précédent chapitre, aucun de ces types ne savaient qui j’étais, j’étais pour eux une véritable petite salope qui aimait tout simplement le cul. J’avais toujours pris soin de venir en taxi, vêtue de tenues bon marché, sans maquillage, portant de fausses lunettes de vue et coiffée d’une perruque, dissimulant ma queue de cheval. Malheureusement, six mois plus tard Kamel disparut de la circulation.
    
    À la même période ma relation avec Jean-Lou s’étiolait. À 31 ans, mon chéri ne voulait toujours pas se marier, il avait déjà repoussé la date du mariage par deux fois. Jusqu’au retour de Philippe, pendant ce semestre, je trouvais des amants de passage, des parfaits inconnus, trouvés au hasard de la vie. Fin mai 79, j’avais fêté le retour de mon jeune amant prodigue, en renouvelant notre nuit passée à l’hôtel à Lyon, un an plus tôt. Ayant repris son travail comme peintre chez Alain, il passait la nuit du mercredi dans mon lit, lorsque Jean-Lou découchait. Si au départ, je ne voyais pas mon chéri ces nuits-là, au fur et à mesure du temps qui passait, celui-ci sortait d’autres soirs dans la semaine. Je pensais réellement qu’il n’appréciait guère ma liaison devenue assez sérieuse avec Philippe. Fin 1979, je ne voyais plus du tout Jean-Lou, les ...
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