1. La vie de Sophie Ch 02


    Datte: 15/10/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... Et le fait de savoir qu'elle avait fait cela pour moi était très fort.
    
    Je découvrais que Sophie avait une vraie technique, issue, je n'en doutais plus, d'années de pénétrations diverses et variées, anales et vaginales. Il m'arrivait d'avoir très envie d'être remplie, mais jamais la sodomie ne m'avait effleurée. Ni même l'utilisation d'un objet. Mon doigt à la rigueur. Lorsque la canette força la barrière de ses chairs, je m'arrêtais d'enfoncer les doigts en elle, stupéfaite de ce que je voyais. Sophie était livide, mais continuait à pousser, jusqu'à ce que le bord de la canette disparaisse légèrement dans ses chairs. L'anus restait distendu, c'était obscène. La voix entrecoupée, elle m'annonça qu'elle ne l'enlèverait que le soir.
    
    La cassette enchaînait directement sur le soir. Sophie était habillée et revenait de courses. Elle se présentait à la caméra, en disant qu'elle était partie en métro faire des courses à Paris, et qu'elle voulait me présenter les achats qu'elle avait fait. Elle se dévêtit devant la caméra, et montrant ses fesses à l'objectif voulu me montrer qu'elle était restée remplie. Je n'en avais pas douté, sans non plus avoir pu complètement y croire!
    
    Le premier des trois objets était les menottes. Elles étaient noires et très lourdes. Elle me disait vouloir toujours être attachée à moi, ainsi nous serons toujours toutes les deux. L'objet suivant était les pinces. Elle expliqua à la caméra qu'elle était allée dans un sex shop spécialisé. Qu'elle avait ...
    ... attendu qu'un couple rentre pour oser s'aventurer dans ce lieu de perdition qui finalement ressemblait à un commerce comme un autre. Elle voulait m'offrir un cadeau me permettant de lui faire mal facilement. Le vendeur lui avait conseillé ces pinces, dites japonaises. Il suffisait de rajouter des poids à la ficelle pour augmenter la douleur. Sophie s'installa les pinces sur ses gros tétons qui étaient très érigés. A son soupir, je doutais qu'elle ait vraiment eu mal. Le dernier objet était donc bien le bâillon, et Sophie m'expliqua qu'elle voulait pouvoir être fouettée comme je le voulais, sans que je sois gênée par ses cris! La boule s'enfonçait au fond de sa gorge, elle était démesurée et distendait sa bouche. Sophie tira les lanières en arrière et attacha le bâillon très serré en plaquant ses cheveux contre ses oreilles. La vision en était très érotique, j'aimais beaucoup. Je n'entendais plus que des grognements, qui faisaient échos aux gémissement que la Sophie à côté de moi poussait, les yeux clos, envahie par mes doigts qui prenaient possession d'elle partout.
    
    Dans le film, Sophie s'allongeait sur son lit, prenant la plus courte des cravaches que j'avais achetées. Elle se mit à taper frénétiquement sur son ventre et ses seins avec, sursautant chaque fois que la pointe touchait ses tétons toujours pincés. Cela manquait quand même de puissance, mais la douleur était vive. J'étais fascinée par les coups sur le ventre. Pas seulement parce que son ventre était magnifique. ...