La vie de Sophie Ch 02
Datte: 15/10/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... propre de la bouteille entre ses dents, et d'aller ainsi, animale, jusqu'à la pièce d'eau. Lorsqu'elle revint, je m'étais servie à boire, en vibrant au son de la musique, j'étais bien. Sans un mot elle vint se coller contre moi, posant ses lèvres sur mes pieds que j'avais dénudés. Le contact était doux, sensuel. Elle se mit doucement à les embrasser, m'envoyant des décharges dans le bas du dos. Les baisers devinrent plus appuyés, et elle se mit à lécher mes doigts, les avalant au fond de la bouche. J'ignorais cette zone érogène bien cachée, mais je ne tardais pas à me pâmer de désir. Les yeux embués, je posais mon verre, frustrée de ne pouvoir la toucher, la caresser, la pincer, la fouetter. La fouetter. Mon sac plastique était juste à côté, je choisis au hasard une des deux cravaches que je promenais sur le dos courbé à mes pieds. Sophie n'eut pas un mouvement, absorbée dans son plaisir buccal, tandis que je descendais en flattant ses fesses du bout de la cravache.
Je ne savais pas comment frapper. Mais je savais que j'en avais envie, très envie. Je m'installais pour pouvoir viser ses fesses. Le premier coup fit un très joli bruit. La langue s'arrêta un instant, le souffle coupé. Mais très vite Sophie reprit ses baisers. Je continuais alors, lui demandant de relever ses fesses pour me faciliter l'angle. Je ne voyais pas bien ce que je faisais, ni les marques que je laissais, il faisait trop sombre. J'adorais le bruit, mais aussi la sensation dans ma main, la vue de ses ...
... fesses qui pliaient sous le coup. Lorsqu'elle les contracta pour contrôler la douleur, je lui ordonnais de se relâcher, de s'offrir plus encore. Et à nouveau elle m'obéit avec un soupir. Les baisers se faisaient plus désordonnés, mais elle restait assidue à la tache. Je n'étais pas assez bien installée, je lui ordonnais d'aller s'allonger sur son lit, le cul très relevé, les jambes écartées, de m'attendre ainsi.
J'allumais un peu, juste le temps de voir ce que mes premiers coups avaient laissé comme trace. C'était magnifique. Désordonné certes, trop haut sur les reins, sans doute, mais les marques étaient profondément ancrées dans sa chair, la forme de la cravache se devinait. Je me mis nue, très excitée. J'embrassais ses fesses, je lui demandais de me les offrir, de souffrir pour moi. Je repris la cravache, mais là plus à l'aise, j'arrivais sans difficulté à viser. Je voulais que ses fesses soient marquées partout. Mais surtout autour de l'anus. Je l'obligeais à s'ouvrir, pour que je puisse la frapper dans les replis autour, arrachant parfois un petit cri qui au lieu de m'inquiéter ne faisait que raviver mon envie. J'étais épuisée, en sueur, une envie incroyable de la posséder que la cravache n'avait pas calmée, bien au contraire.
Je vins m'allonger contre elle. Son visage était en larmes. Je les léchais, émue, un peu inquiète quand même. Ses baisers passionnés me rassurèrent, un merci à peine audible finit de me convaincre. Nous nous embrassâmes avec passion, ma main ...