La vie de Sophie Ch 02
Datte: 15/10/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... rêve de flagellation. J'adorais les films avec les pirates pour cela. J'ai toujours eu envie de violence, d'où ces pénétrations qui sont pour moi une façon de me violenter, et me procurent un plaisir si fort. Je ne sais plus si c'est un songe ou la réalité. J'avais 8 ou 9 ans, je jouais avec un cousin qui avait deux ans de plus que moi aux indiens. Il m'attrape, m'arrache ma robe et m'attache avec son lasso au tronc d'un arbre. Il se colle contre moi, son sexe rentre dans mes fesses, je sens une brûlure, mais je ne crie pas. Au contraire, je me frotte contre l'écorce rugueuse de l'arbre, et je jouis ainsi. Nous n'en avons jamais parlé, aussi je ne sais pas si cette scène est réelle, mais depuis je l'ai revécue tant de fois en songes. Et en désirs, où je me vois subir tant et tant de choses.
Et aujourd'hui, j'ai envie, besoin de vous offrir ces choses. Vous qui avez su me voir, me prendre telle que je dois être prise. Mes relations avec les autres personnes de ma vie m'ont toujours ennuyée. Je n'ai pas envie de décider, j'ai envie d'être utilisée, comme vous avez commencé à le faire, mais encore plus comme il vous plaira.
J'ai pleuré quand vous m'avez fouetté les fesses, parce que c'était de sentir un tel bonheur, que ce soit réel, que ce soit vous, que vous me sentiez à ce point pour m'emmener dans ces contrées, à la fois si visitées dans mes songes, mais aussi inconnues dans ma réalité. J'aurais aimé que jamais les coups ne s'arrêtent, j'étais bien dans cette ...
... souffrance que vous m'offriez. Mais quelle frustration que de devoir contrôler mes orgasmes, je le comprends, ils sont à vous.
Je voudrais que vous preniez tout, encore et plus, ne vous limitez à rien, saccagez-moi si tel est votre plaisir. Ne pensez qu'à vous, je ne penserai qu'à vous. Plus rien n'a d'importance, un regard de vous est le plus beau des cadeaux qu'il m'ait été donné de recevoir.
Mais j'ai peur. Peur de vous perdre. Peur de vous choquer. Peur de vous déplaire. Peur que vous n'ayez envie que de jouer avec moi, mais pas d'aller jusqu'au bout. Vous m'avez demandé d'être votre esclave, je ne sais ce que cela signifie pour vous, je ne sais pas ce que cela signifie pour moi, je sais simplement que je ne vous appartiendrais jamais assez. Je vous attendais.
Je vous aime
Votre esclave Sophie »
Je lus la lettre une seconde fois, plus lentement pour bien m'imprimer de ces mots. L'écriture manuscrite n'était pas toujours facile à décrypter et je ne voulais pas commettre d'erreur. Sophie, entre mes jambes, ne s'était pas interrompue une seule fois et j'avais parfois du mal à rester concentrée.
Je ne savais pas ce que j'attendais, mais j'étais quand même surprise. Je me demandais comment Sophie pouvait aussi rapidement, aussi soudainement à la fois tomber amoureuse, et révéler une nature qu'elle avait cachée pendant plus de dix ans. Je réalisais en ayant cette pensée que moi-même en quelques jours j'étais tombée folle amoureuse de cette fille, ce que j'aurais cru ...