Copine d'avant
Datte: 15/10/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Arpenteur, Source: Revebebe
... bouffi, et comprenais fort bien qu’une femme n’ait pas envie de moi.
« Alors, j’y vais ou j’y vais pas ? ». J’eus soudain peur de laisser passer ma chance. Au petit matin, alors que ma moitié prenait sa douche, j’ai envoyé un message rapide à Ursula :
— Quand est-ce que l’on se rencontre ?
Arrivé au boulot, sa réponse était dans ma boîte :
— Je croyais que t’avais laissé tomber parce que je ne te plaisais pas ! C’est souvent la réaction des mecs quand ils voient mes photos.
Je fis alors preuve d’une incroyable mauvaise foi :
— J’avais plutôt l’impression que c’était moi qui ne te plaisais pas. Pourquoi tu ne m’écris plus comme avant ? Tu as trouvé mieux ailleurs ?
Toute la journée, nous avons échangé des mails, une espèce de dispute en forme de règlement de compte. Elle m’a assuré que mon surpoids n’était pas un problème pour elle, pas plus que mon petit sexe. Cependant, de mon côté, je finis par admettre que je trouvais son visage assez revêche et pas spécialement attirant.
— Tu vois bien que c’est toi qui ne veux pas, conclut-elle, triomphante. La balle est dans ton camp, si tu veux que l’on se rencontre vraiment, sache que moi je suis partante. Mais si je ne te plais pas, ne te force surtout pas !
Mais ma décision était prise, je ne voulais pas mourir idiot.
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N’ayant pas de véhicule, il était impossible pour elle de se déplacer jusque chez moi. De toute façon, où serions-nous allés ? À l’hôtel ? Il était beaucoup ...
... plus simple que ce soit moi qui fasse le trajet jusque chez elle. Le seul problème c’est qu’elle habitait quand même à plus de 200 bornes. En douce, je pris une RTT sans en avertir ma compagne, et partis de bonne heure pour arriver chez Ursula un peu avant dix heures. Elle vivait dans un petit trois pièces dans une maison de bourg qui jouxtait l’église de son village, un immeuble plutôt sinistre dans une ruelle sombre. J’ai sonné en bas et j’ai entraperçu une forme qui, du troisième, m’a balancé une clef. J’ai alors ouvert le portail et j’ai grimpé péniblement jusqu’à son palier. La porte d’entrée était grande ouverte :
— Entre, me dit une voix, ferme la porte et assieds-toi dans le gros fauteuil. J’en ai pour cinq petites minutes.
J’ai bêtement pensé qu’elle n’était pas encore prête et qu’elle était en train de se maquiller et de se pomponner. Ah ces femmes ! Qu’est-ce qu’elles peuvent être chiantes dès qu’il s’agit de leur apparence ! J’en ai profité pour regarder autour de moi, les meubles vieillots et démodés, probablement achetés d’occasion à bas prix dans un de ces hangars poussiéreux qui troquent tout pour presque rien. Parfum de pauvreté, on ne pouvait pas dire que son intérieur était coquet, le papier jauni et partiellement arraché n’avait pas été changé depuis des lustres.
Quand je l’ai entendue rentrer dans la pièce, je me suis retourné pour découvrir une femme qui portait un masque de souris qui lui cachait une grande partie du visage. Si je m’attendais à ...