1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1676)


    Datte: 09/10/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... conscience, je constatais que j’étais donc exposé dans cette cellule épurée, à la lumière blanche de laboratoire, derrière cette haute vitrine comme d’autres ! En effet de l’autre côté de la vitrine se trouvait ce long et large couloir où de chaque côté étaient disposées d’autres cellules vitrées toutes identiques à la mienne. Chaque cellule était occupée d’une ou d’un esclave nu, des femelles, des mâles à raison d’un spécimen par cellule. On aurait cru, à mon instar, être tous, des rats de laboratoire… Dans la cellule en face de la mienne, il y avait une femelle nue, une jeune femme brune et très belle, aux tétons annelés, d’une vingtaine d’année environ. Elle était couchée sur le dos à même le sol, les cuisses largement écartées, les genoux relevés face à mon regard. Son bassin se soulevait du sol alors qu’elle se masturbait frénétiquement et sans modération. J’avais l’impression qu’elle jouissait sans interruption par des cris que je n’entendais pas, les cellules devaient être insonorisées, mais l’expression de son visage laissait à penser qu’elle hurlait de plaisir à ne plus pouvoir s’arrêter. Je comprenais alors qu’elle devait avoir été conditionnée par un traitement l’ayant rendu constamment en chaleur excessive… Oui nous étions vraiment des souris blanches de laboratoire…
    
    Mon attention que je portais à cette jeune femelle qui se branlait sans aucune pudeur, sans aucune gêne, était interrompue quand une personne entra dans mon champ de vision dans le couloir… En ...
    ... effet, je voyais désormais Madame Brigitte derrière cette vitre, elle me regardait d’un air fier et hautain. Elle tenait en ses mains un gode de bonne dimension, en latex noir, lubrifié, qu’elle branlait doucement, délicatement, sous mes yeux mi-clos… « Quelle garce ! » pensais-je… Je voyais bien qu’elle faisait ça pour m’humilier une fois encore, je voyais bien qu’elle cherchait par tout moyen à m’abaisser, à me rendre plus encore dépendant de sexe, alors que je hoquetais, suais, percevais encore et toujours ces chahuts incessants au fond de mon cul, alors que ma nouille réclamait le traitement qu’elle donnait à ce bout de plastique.
    
    - Ton cul à faim, salope, il est devenu ta chatte de femelle soumise qui réclame… Je suis certaine qu’elle aimerait se faire bourrer… peut-être même que ce gode pourrait satisfaire ta chatte affamée !
    
    Quelle odieuse femme, quelle horrible femme, qu’elle était laide avec ces rictus sur ses lèvres pincées. Je la détestais simplement.
    
    - Hélas, ma salope, ce n’est pas pour toi… mais pour une autre femelle, une femelle sans couilles, qui elle aussi subit le même traitement que toi, mais depuis plus longtemps que toi… Elle n’en peut plus, la pauvre… Tu vas voir comme elle va être heureuse de s’empaler sur cet objet !, regarde bien salope !
    
    A cet instant, la cloison aveugle de ma cellule, du côté droit, se soulevait tel un large volet roulant électrique, pour laisser apparaitre une autre épaisse vitre qui donnait sur la cellule d’à-côté, celle ...