1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1676)


    Datte: 09/10/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1675) -
    
    Chapitre 51 : Une overdose de sexe -
    
    J’étais à mon tour habité par la baise… Je me sentais et me voyais perdu, sombrant dans un océan de folie orgiaque pure, ma peau gorgée de chaudes sensations électrisées incroyables, comme si j’étais dévoré de l’intérieur. Je suffoquais même. Ma chair devant supporter des tensions insupportables, des milliers d’étincelles scintillaient devant mes yeux. Un ouragan de sensations plus excitantes les unes que les autres me plongeait dans les abimes de la démence pornographique emplie de perversité que je subissais. Mon cul cognait de l’intérieur, des ondes longues et violentes se répandaient dans mon ventre. Ainsi je me sentais m’envoler vers une autre dimension, où plus aucun aspect de ma vie ou de mon identité n’avait de sens. J’agonisais, et je jubilais tout à la fois, en poussant des cris d’horreur, des cris à la fois d’épouvante et de bonheur ultime résonnant dans ce vaste local sordide… Inutile de dire, combien j’étais heureux d’entendre, au bout d’un temps certain, des pas venir à ma rencontre ! J’espérais qu’on me libère, qu’on m’encule, qu’on me fasse jouir, qu’on en finisse avec moi. Mais celui qui était là, n’était autre que ce pervers Maxence. Il me regardait avec son rictus odieux et obscène. Sans un mot, juste sous mes yeux, il sortait d’une boite en métal, deux seringues remplies d’un liquide incolore. ...
    ... Il plaçait tranquillement des aiguilles stériles sur ces seringues, avant de me contourner et de se placer entre mes jambes. Je m’étranglais en hurlant :
    
    - Non Monsieur, pitié Monsieur, ne voyez-vous pas que je n’en peux plus ! S’il vous plait Monsieur, baisez-moi !
    
    Mes suppliques ne servaient à rien, mise à part que j’eus comme réponse une fulgurante paire de gifles… Maxence, toujours silencieux, toujours sans un mot, dans la plus grande indifférence, me plantait ensuite une aiguille dans le quart supérieur externe de la fesse droite et injectait lentement le liquide se trouvant dans la seringue. Cette injection intramusculaire me brûlait dès lors que le produit injecté se répandait dans mon lobe fessier. Mais Maxence, une fois encore ne se souciait guère de mes ressentis. Au contraire même, il semblait prendre un véritable plaisir sadique à m’entendre gémir et supplier. Il œuvrait encore avec cette fois-ci cette seconde aiguille qu’il me plantait ici ou là, sur toute cette zone péri-anale écartelée par les liens me maintenant ainsi offert. Maintenant que je connaissais les conséquences de ces injections, je les redoutais d’autant plus, mais peine perdue, j’avais beau contracter mon périnée, je sentais cette fine aiguille me pénétrer douloureusement. Très vite mes couilles furent en feu, mon cul tout autant, ma nouille raide palpitait sous mon abdomen, nouille d’ailleurs saisie et ramenée vers l’arrière, vers mon cul par cet homme diabolique. Je ne voyais pas ce qu’il ...
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