La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1676)
Datte: 09/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... faisait avec elle, je percevais simplement qu’il tirait sur mon prépuce afin de dégager largement mon gland tumescent. Je sentais seulement qu’il enfonçait un plug pénien dans mon urètre qu’il fixait avec un anneau en silicone extensible qu’il plaçait derrière mon gland.
Ce système permettait de maintenir le plug, l’empêchant tout simplement de glisser à l’intérieur ou l’extérieur de ma nouille, tout en stimulant le frein de mon prépuce. Et comble de l’horreur, j’étais saisi de vibrations pénétrantes lorsque Maxence appuyait sur un petit bouton se trouvant sur ce matériel machiavélique. Machiavélique… était-ce d’ailleurs le mot approprié pour qualifier les sensations perçues ? Sitôt les premières ondes ressenties, une envie forte d’éjaculer se faisait sentir, mais cet odieux mini-vibromasseur m’empêchait d’expédier mon foutre, il freinait et réprimait mon éjaculation. Alors, comme si je perdais connaissance, tous les rouages hallucinés de mon être tournaient à plein régime, sous l’effet de ce matériel placé au bout de ma nouille, sous l’effet de ces injections ! Dans la nuit noire, pourtant en plein jour, je m’inscrivais alors dans un schéma vivant, mouvant, révélant ma propre vie, dévoilant ma nature profonde de salope dépravée. Je n’étais plus que ça… rien que ça ! Alors, à peine si je sentais les pompes à air que Maxence me plaçait sur mes mamelons, aspirant et tirant dans ce tube plastique mes tétons. La douleur se mêlait au plaisir et m’emmenait inexorablement vers ...
... l’abandon, la déchéance, l’effroi, la torpeur, le désir, le plaisir… tout était paradoxal en moi !
Combien de temps restais-je ainsi, seul, habité par des tourments et des sensations extrêmes ? Impossible de le dire… Maxence était reparti, en m’humiliant tacitement. Pas un mot, seul des sourires pervers et des regards malsains et dépravés se lisaient sur son visage. Mon corps ravagé ondulait frénétiquement, mon corps suait, de ma bouche s’échappait des flots de salive incessants, mon cul tressaillait. Je n’étais plus moi mais plutôt devenu plus que rien, ce qui d’ailleurs était la même chose, mais une chose ou une chienne endiablée, enflammée, excitée, pervertie… Impossible de dire qui m’avait détaché, qui m’avait ôté ces dispositifs posés sur mon corps, qui m’avait conduit dans cette cellule assez large dont un pan était entièrement vitré donnant dans un couloir fort éclairé, tant j’étais anéanti, tant mon mental était accaparé et éprouvé peut-être même nourri par ces émotions et sensations perverses. En tout état de cause, j’étais là, allongé sur le sol, toujours emportés par les épreuves imposées. Ma nouille était de nouveau enfermée dans une cage un peu plus longue que d’habitude mais munies à l’intérieur de l’étui pénien de petites pointes acérées et blessantes en cas de bandaison torride. Je tremblais, non de froid, mais d’excitation. Mon corps n’était plus connecté à mon cerveau ou mon cerveau n’était plus raccorder à mon corps ?
Lorsque je reprenais plus ou moins ...