1. Reprise des débats


    Datte: 02/10/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral 69, fouetfesse, piercing, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... privées de sexe, pourtant ! Alors, pourquoi nos mains s’enfouissent-elles entre nos cuisses ? Mimétisme érotique aussi communicatif que le rire, l’excitation réveille la chaleur où sommeillait ma chatte. Mes compagnes ne sont pas en reste, et nos gestes lubriques n’échappent pas à Martine. Lorsqu’elle reprend haleine, un bref instant, je croise dans son regard une lueur que je prends pour invite. La dame est généreuse et ne déteste pas partager son dessert ou montrer au plus près la technique aboutie dont elle le déguste.
    
    Après tout, pourquoi pas ? Il n’est de meilleur apprentissage que par la pratique démonstrative. Puisqu’on me le propose, j’aurais mauvaise grâce à refuser de me perfectionner dans l’art du gougnottage. Une leçon de léchage n’est jamais inutile, et Marie pourrait en profiter aussi pour s’instruire, au lieu se contenter d’un concours de papouilles avec Anaïs. Je me décide à l’entraîner avec moi. Quand il y en a pour une, il y en a pour deux, n’est-ce pas ?
    
    Et même pour trois, je l’espère ! Les deux gamines ne se sont pas séparées. En emmenant l’une vers le lit des plaisirs partagés, j’y ai conduit l’autre. L’afflux de public ne contrarie pas Martine, son sourire en témoigne. C’est avec une lente et précise application qu’elle étire à notre intention les étonnantes petites lèvres de Colette. Pour Marie, la vue en gros plan de ces larges et longues nymphes – des nymphéas, je n’en démords pas ! – est une découverte. Les siennes, qui la complexaient tant, ...
    ... ne sont que broutilles en comparaison.
    
    Sa surprise redouble et un air d’affolement passe sur son visage quand la démonstratrice enfile ses auriculaires dans les trous que l’intronisation de Soumise Novice a laissés dans la chair la plus sensible de Colette. Il faut forcer, sans doute, pour glisser ces doigts même si fins dans ces étroits pertuis. La douleur de la victime se mesure à ses gémissements, plaintes qui s’accentuent quand les doigts en crochets écartèlent sa chatte. Ses muqueuses pulsantes et leur tapis de mouille disent assez pourtant le plaisir qu’elle en tire.
    
    Anaïs se trouble elle aussi au constat singulier de ces stigmates anciens que son ingénuité lui a fait ignorer dans son apprentissage. Je me sens investie d’une noble mission, celle, en aînée responsable, d’instruire ses cadettes de la subtilité des sources de l’extase – sexuelle s’entend – et mes mains n’attendent pas plus loin pour peser sur les nuques de mes jeunes consœurs. Ce sont donc quatre têtes qui maintenant se penchent sur l’entaille ouverte, torturée et ravie, de ma chère Colette dont nos regards émus contemplent la cyprine.
    
    À côté de mes joues, des narines palpitent, aspirant comme moi un doux parfum de rut. Pour un rien, je le crois, les langues sortiraient. Oh, je n’ai plus besoin d’inciter mes compagnes ! Leurs yeux sont captivés et leur bouche entrouverte, mes mains sont libérées et rendues disponibles. La vulve écarquillée les appelle et réclame une intrusion profonde propre à la ...
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