Où Marie s’émancipe
Datte: 01/10/2023,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
jeunes,
vacances,
essayage,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
caresses,
rasage,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... lendemain elle adoptait la pratique du bronzage intégral.
Les jours s’écoulent depuis dans la plus naturelle et décontractée convivialité. Nous alternons bains de soleil et balades récréatives. Marie ne connaissait pas le musée desex-voto, ni notre célèbre abbatiale, ni la plage interdite aux « textiles ». Ses lacunes sont maintenant comblées et elle en est ravie. Hier, ses parents ont téléphoné, craignant qu’une semaine de présence et sa prolongation ne me soient un trop lourd fardeau, ce dont je les ai détrompés. Ils voulaient surtout lui rappeler qu’ils partaient en vacances. Marie a préféré rester avec nous.
Mes relations avec elle balancent entre celles d’une grande sœur – je n’en ai pourtant plus l’âge ! – et celles d’une cousine ou d’une tante bienveillante. Je ne m’immisce pas de trop près dans celles qu’elle entretient avec ma fille. J’observe cependant que se développe une grande complicité, pour ne pas dire « proximité », liant ces deux jeunes femmes. Cela éveille en moi une curiosité indulgente doublée d’une pointe d’envie et de nostalgie.
Aujourd’hui, Marie s’est prononcée pour une taille drastique de sa toison. Après petit-déjeuner, elle m’a déclaré sans ambages son souhait que je m’en occupe. J’ai décliné sa demande, je ne suis pas sûre de rester insensible dans une telle situation. Mon refus l’a déçue, elle craint de se blesser en se rasant elle-même et n’oserait pas se confier à une esthéticienne même si je lui offrais la séance. Elle a pensé à ...
... une autre solution que je ne lui aurais jamais proposée.
— Au moins, Chantal, est-ce que vous pourriez me montrer comment vous faites ?
Pourquoi ai-je accepté ? Me voici à poil dans la salle de bain, assise sur un tabouret, la bombe de crème à raser dans la main, cuisses ouvertes devant les yeux curieux et attentifs d’une jeune fille.
Elle s’est posée sans façon en tailleur. Son tee-shirt remonte à sa taille, ses longues nymphes caressent le sol. Son ingénuité confiante me touche et son regard me trouble. Je m’empresse de couvrir de mousse ma touffe et le reste. Il me faut pourtant utiliser leLigette pour dames, montrer le bon geste, le bon angle, la pression ferme, mais sans trop, et tendre la peau, là, sur le bord des lèvres…
La silhouette de ma fille s’encadre dans le chambranle.
— Je peux regarder moi aussi ?
—(Allons bon !) Heu…
— Ça te gêne ?
— Ben oui, un peu, quand même !(Et même beaucoup !)
— C’est juste pour comparer…
—(Comparer quoi ?) Heu…
— Pour savoir si j’ai fait comme il fallait. Et puis, quand Marie essaiera, je pourrai l’aider.
J’ai bien envie de refuser ! Elle a malgré tout le bon goût de rester sur le seuil, par pudeur, par discrétion ou par timidité, je ne sais. Mais c’est un fait : elle n’observera que de loin. Je hausse les épaules, résignée.
— Si tu y tiens, Manon…
Bon, un côté, c’est fait. L’extérieur de l’autre lèvre maintenant. Le geste souple, appliqué, d’un seul mouvement d’abord, puis quelques reprises à contre-poil… ...