Isabelle en balade
Datte: 30/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
voiture,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... pour conduire…
— Tu veux rire ? Tu es très bien comme ça !
Elle rit franchement :
— Ben voyons ! Tous des gros cochons, ces hommes !
— Ben voyons ! Toutes des grosses cochonnes qui s’ignorent, ces femmes !
Ce matin, ma compagne est d’humeur moins massacrante, ce qui ne m’empêche pas de faire attention à ce que je raconte et surtout à comment je le raconte. Il suffit surtout que j’oublie de prononcer deux syllabes : vé et ro, dans cet ordre-là. Nous sortons de l’agglomération, le temps est médiocre, avec quelques faibles éclaircies, ce que je préfère, car allant en Espagne, je vais rouler vers le sud, et la cabine d’un poids lourd peut facilement se transformer en cabine à UV !
Je profite des bonnes dispositions d’Isa pour laisser traîner ma main droite sur son corps, surtout du côté de ses cuisses. Je m’offre même le luxe d’aller taquiner sa fente. Au début, ma compagne serrait les jambes ou repoussait les doigts, puis elle est devenue plus permissive.
À un moment, Isabelle se penche sur l’écran tactile :
— C’est ton GPS, ce gros truc ?
— Oui, c’est un GPS mais pas que. Tu peux aussi visionner des films, et même surfer sur Internet.
— Ah bon, faudra que tu me montres.
— Pas de problème… à la prochaine pause, si tu veux…
Je me dis que j’ai bien fait d’enlever le dossier des photos cochonnes (dont celles de Véro) en sauvegardant le tout sur une clé USB bien camouflée dans un recoin de mon camion. Car si Isabelle tombe dessus, je crois que je suis ...
... mort, définitivement mort !
Ma compagne m’offre l’opportunité de penser à autre chose de moins périlleux :
— Au fait, t’es bien certain que personne ne pourra voir qu’il me manque le bas ?
— Pour cela, il faudrait rencontrer de face une cabine nettement plus haute que la mienne. De plus, on est sur une autoroute, donc on n’est pas près de rencontrer un autre camion en face.
— Oui mais on peut doubler ou se faire doubler par un autre camion.
— C’est vrai, mais faudrait que le bonhomme soit très en hauteur. Et puis s’il découvre tes petits trésors, ce ne sera pas perdu pour tout le monde !
Elle se tortille sur place :
— Oui, mais c’est quand même gênant !
— Ce sera un inconnu que tu ne reverras plus jamais de ta vie. Et puis, si tu savais ce qu’un routier peut voir comme trucs…
— Ah oui ? Raconte !
Je me cale mieux sur mon siège :
— OK, je vais te raconter diverses anecdotes, soit que j’ai vécues, ou qu’on m’a racontées. Ça te convient ?
— Je t’écoute, mon Mimi ! dit-elle en posant carrément ses pieds déchaussés sur la plage avant, face à la route.
Décidément, ma fille, tu t’enhardis sans t’en rendre compte. Ce voyage sera peut-être plus profitable encore que prévu. Amusé, je commence à raconter :
— Du haut de notre cabine, on voit très bien ce qu’il y a plus bas. Et de temps à autre, on voit des trucs pas trop tristes, comme des mecs qui conduisent les roubignoles à l’air.
— Tu rigoles ?
— Pas du tout. Certains conduisent la bite à l’air et d’autres ...