1. Madame Owen


    Datte: 29/09/2023, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, amour, caresses, Oral pénétratio, init, initiatiq, amouroman, Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe

    ... Owen.
    
    — Oh, comme il est joli. Et déjà prêt, on dirait ! Mmmh… il est bien dressé.
    
    Quand elle y mit ses lèvres, ce fut à mon tour de crier :
    
    — Oh ! Madame Owen !
    
    Je m’accrochais aux rebords du divan, pour résister à l’intense sensation de plaisir qui envahissait tout mon corps. Je sentais sa langue et ses lèvres autour de mes parties intimes, comme un fourreau délicat et attentif à mes besoins, me léchant à chaque soubresaut de queue. Sa langue dressait mon pénis comme une trique titillait la croupe d’un cheval.
    
    — Laisse-toi aller dans ma bouche, mon chéri. N’aie crainte.
    
    N’en pouvant plus, criant en direction du plafond, je fis comme chez moi, et la belle et grande madame Owen ingurgita en me regardant avec tendresse. Puis elle se redressa légèrement.
    
    — Mon chéri. Je ne pensais pas un jour te poser la question, mais je vois que tu es encore plein de vigueur et quelque chose me vient en tête. L’as-tu déjà fait ?
    — Non, répondis-je timidement.
    
    Il est vrai qu’au lycée, j’avais eu l’occasion de tenter plusieurs expériences, mais je n’étais jamais allé jusqu’au bout.
    
    — Je m’en doutais. Acceptes-tu que je te guide pour ta première fois ?
    — Ce sera un honneur, madame Owen.
    — Très bien, mon chéri. Fais-moi confiance, je suis avec toi.
    
    Elle entoura ses jambes autour de mon bassin et descendit doucement son entrejambe sur ma verge, le dos droit, la poitrine redressée légèrement vers le haut. Elle prit mes mains pour les placer sur ses seins fermes, ...
    ... pendant qu’elle faisait doucement tanguer son bassin d’avant en arrière sur moi. Tandis qu’elle amplifiait la manœuvre avec une satisfaction de lionne au visage, mes mains descendirent sur ses flancs pour les tenir durant la chevauchée.
    
    — C’est très bien, continue, oui, prends-moi comme ça.
    — Ah ! Aaaaaah ! Oui ! O mon Dieu que c’est bonnn ! Aah ! Aaaah !
    
    Et nous atteignîmes notre apogée ensemble, tous les deux.
    
    Puis, comme les flocons de neige se déposent sur le sol au début de l’hiver, elle se retira et s’allongea sur moi pour entendre battre mon cœur dans ma poitrine, pendant que j’enfouis mes doigts dans sa chevelure. Et plus que jamais, j’aimais madame Owen, sans barrière, sans filtre, comme elle était.
    
    Moins d’une heure plus tard, quand mon pote rentra dans le salon, madame Owen et moi étions tous les deux habillés, moi sur le divan, lisant un livre, et elle finissant son repassage. Il ne se doutait pas le moins du monde de ce qu’il venait de se passer chez lui, il y a moins d’une heure.
    
    Je n’eus plus le loisir de passer un autre instant comme celui-ci avec madame Owen, à cause mon emploi du temps à la fac, et mon éloignement géographique. Peut-être aussi parce que ce genre de moment est fort rare et ne se produit qu’une fois dans une vie. Finalement, ma vie de famille m’en détourna définitivement. J’avais rencontré une jeune fille de mon âge fort sympathique avec laquelle je m’étais marié. Mais je savais au fond de moi ce que j’avais réussi à offrir à ...