Madame Owen
Datte: 29/09/2023,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
amouroman,
Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe
C’était la mère de mon meilleur pote.
Honnêtement, ça ne se fait pas, non ? De fantasmer sur la femme qui nous prépare la plupart de nos goûters depuis notre enfance. Je passais une grande partie de mon temps en dehors de l’école chez eux, et je l’avais toujours vue là, à la sortie de l’école, comme si les vacances de Noël venaient d’arriver. Mais curieusement, il me semblait qu’avec les années, elle était de plus en plus belle. Comme toutes ces mères américaines toujours bien mises à ladesperate housewife. Je me disais souvent qu’elle avait dû avoir ses enfants tôt, car elle était extrêmement bien conservée. J’admirais souvent ses cheveux blonds coupés au carré, coiffés en courbe derrière les oreilles. Malgré ses années, et ses grossesses, elle avait gardé une silhouette mince et athlétique.
Je trouvais son mari chanceux. À tel point que parfois, je venais plus chez mon pote pour la voir, elle. La contempler, l’admirer. Évidemment, elle a fini par s’en apercevoir.
C’était quelques semaines après les résultats des examens. Je savais que je ne la reverrai pas avant longtemps. J’avais trouvé une excuse pour venir : emprunter certains livres de la grande bibliothèque qui ornait leur salon. Je n’avais jamais compris ce que faisait son mari, mais il possédait de nombreux ouvrages très intéressants qui me seraient utiles pour mes études. Alors que j’étais assis chez elle, à la regarder faire le repassage, je ne parvenais pas à détacher mes yeux de ses mains, de son visage ...
... serein et beau, que l’âge ne parvenait pas à effacer, mais qu’il enjolivait encore plus.
Nous n’étions que tous les deux, et après toutes ces années, je commençais à avoir marre de ma peur, de mon appréhension. Je la voulais, elle, cette femme mariée et mère de deux enfants, reine d’une situation familiale bien entretenue depuis plus de quinze ans. Alors je me laissai aller à quelques confidences.
— Vous êtes tellement belle, madame Owen !
— Merci Edward. Cela me fait très plaisir.
— J’ai toujours eu du mal à vous le dire, vous me fascinez, depuis que je suis tout petit.
— Que de compliments ! Mais tu sais, tu peux me tutoyer. Je sais à quel point tu me respectes. Parfois, nous pouvons mettre un peu de côté cette distance entre nous.
Je gardais le silence, ému par l’accueil qu’elle avait fait de mes aveux. Je n’étais d’ailleurs pas certain qu’elle ait perçu ce qu’ils sous-entendaient.
— Et je dois dire, Edward, tu es un garçon très mignon, me lança-t-elle avec un sourire entendu.
En fait, si, elle avait très bien compris.
Même pendant ses tâches ménagères, elle mettait une jolie robe.
— Vous êtes toujours bien habillée, madame Owen, vos tenues vous mettent toujours en valeur.
— À ton âge, j’aurais bien aimé rencontrer un jeune homme aussi adorable que toi.You’re so sweet ! Jamais une parole de travers, un mot blessant. Tu es un vrai gentleman.
Pendant ce temps, elle avait reposé doucement le fer à repasser à la verticale, et s’était avancée vers le ...