Madame Owen
Datte: 29/09/2023,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
amouroman,
Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe
... divan pour s’approcher de moi.
— Même mon cher Henri… Je dois avouer que parfois, ses blagues grivoises me fatiguent. Mais c’est mon mari, après tout, et il est de mon devoir de protéger les apparences.
Elle s’était assise près de moi, les jambes croisées dans sa jolie robe bleue et m’avait caressé la joue du dos de son index. Je lui aurais tout donné.
— Malgré les épreuves, vous restez une reine.
— Oh, Edward… ça me touche.
Après un moment de silence, elle me demanda :
— Tu n’as jamais eu de petite copine ? Je ne t’ai jamais vu en amener une ici, en tout cas. Une fille serait ravie de t’avoir à ses côtés, d’être rassurée par tes mots.
— Eh bien… Quand je vous vois, je dois avouer que je préfère les reines que les princesses.
Aussitôt, un feu intense s’alluma dans ses yeux, un feu ancien et puissant, qui n’avait visiblement pas été allumé depuis longtemps. Elle se pencha rapidement en avant et m’embrassa fougueusement. Ses mains autour de ma tête, elle y mit même la langue. Au bout de cinq minutes, dont l’intensité les rendit éternelles, elle se retira. Son visage exprimait une profonde tristesse.
— Non, je ne peux pas. Je… je suis mariée, et mère. Et puis… je te vole ta jeunesse. Pourtant… cela fait des années que je vois la manière dont tu me regardes, et j’attendais que tu me le dises et…
— Chut, madame Owen, fis-je en posant un doigt sur ses lèvres. Si vous saviez comme je suis heureux de partager ce moment avec vous. Vous êtes une femme, je suis ...
... un homme, et nous avons près d’une heure avant que d’autres personnes reviennent à la maison. Ils n’en sauront rien, alors, profitons-en !
Aussitôt, elle retira les bretelles de sa robe, pendant que je faisais de même avec ma chemise.
Je m’avançai au-dessus d’elle et lui susurrai, à quelques centimètres de son visage :
— Madame Owen, voici comment vous méritez d’être honorée.
Je descendis alors ma tête entre ses jambes, et après un instant de douceur intime, cela me ravit d’entendre autant de délectation sortir de la bouche de cette femme.
Quand je relevais le nez, je la trouvais haletante.
— Merci, mon jeune prince, je crois que je n’avais jamais été sucée comme tu l’as fait.
Je recommençai.
— Mon dieu, Edward ! J’ai des frissons partout ! Où as-tu appris à faire cela, mon chéri ?
— Quand je vous vois, madame Owen, l’inspiration me vient.
— Mais quel émoi ai-je dû te créer toutes ces années ! J’aurais tellement voulu pouvoir t’offrir ce moment plus tôt, mais tu comprends, mon chéri, la bienséance, tout ça…
— Oui madame Owen, tandis que je l’embrassai dans le cou. Vous n’avez pas à vous en vouloir. Vous avez fait les choses bien, vous savez. J’ai toujours aimé votre dignité, votre pudeur.
— Chut Edward… maintenant, c’est à mon tour de te faire une petite gâterie. Mets-toi à l’aise.
Elle posa sa main sur ma poitrine et je me lovai confortablement dans le fond du divan. Elle s’approcha de mon entrejambe comme un fauve. Je ne reconnus plus madame ...