1. Médecine douce pour faiblesse masculine.


    Datte: 28/09/2023, Catégories: fh, fhh, couplus, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... regardant, je croise le regard de l’homme à côté de moi. Il me sourit, un sourire de carnassier, imaginant peut-être que les femmes qui regardent auront des envies qu’il pourra satisfaire.
    
    C’est trop ! Trop fort, rien à voir avec ces films érotiques sauf peut-être celui avec Charlotte Gainsbourg que j’ai découvert sur Netflix.
    
    Je tire sur la main de mon mari. Je l’entraîne de quelques pas. Manifestement, il aurait voulu rester.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ? Tu ne veux pas regarder, pourtant…
    
    Je n’ose avouer que justement cela me dérange, pas par pudeur, mais par cette étrange sensation que je n’arrive pas à analyser, à moins que ce soit une sorte… Non, pas d’excitation… Pourtant cela y ressemble… Et ce regard de femme à femme qui m’associait à son plaisir, à sa débauche, à son envie de plaisir devant d’autres…
    
    — Le mec à côté a mis sa main sur mes fesses.
    — C’est bien normal, tu as de plus belles fesses que celle sur la table.Il rit, comme si ce que je viens de dire, même si c’est un mensonge, est normal. Viens, regarde la voiture là-bas avec le gars à côté, ça a l’air tentant.
    
    Tentant ? Pas de doute, Hugo s’habitue plus vite que moi à cette situation. D’ailleurs si je réfléchis, le choix de la sexologue de nous proposer cette sortie vient peut-être de confidences ou fantasmes de mon mari. Moi, à chaque fois qu’elle a cherché à m’entraîner hors du cadre familial, j’ai toujours répondu que nous étions un couple très classique, même si cela ne signifie pas que ...
    ... nous ne nous limitons pas à la « missionnaire ».
    
    Il m’entraîne vers la voiture. En nous approchant, on voit que l’éclairage interne est en marche. Un homme est comme collé à la portière arrière. De plus près encore, l’explication est évidente. Dans la voiture, à l’arrière un homme est en train de posséder une femme en levrette et cette femme dont le visage est au niveau de la vitre arrière totalement descendue joue de ses mains et de sa bouche avec le sexe de celui qui est dehors.
    
    Hugo ne s’arrête qu’au dernier moment. On est si près que je pourrais toucher celui qui se fait sucer. Nous ne sommes pas les seuls, un autre voyeur arrive. Toutes les vitres de la voiture sont baissées, aussi on peut voir à l’intérieur. Le couple est à genoux sur la banquette arrière et le mari, j’imagine que c’est le conducteur, baise sa femme avec entrain. On voit son sexe brillant entrer et sortir alors qu’il s’agrippe aux hanches de sa partenaire.
    
    — Suce-le ! Chérie, suce-le !
    
    C’est lui qui encourage sa femme, mais il continue en s’adressant manifestement à l’homme :
    
    — Vous ne crachez pas dans sa gorge. D’accord ?
    — Bien sûr.
    
    Étrange conversation, si on peut appeler conversation ce genre d’échange. Je remarque que le mandrin de l’homme n’est pas protégé.
    
    Nous regardons. Celui qui nous a rejoints a sorti son sexe et le caresse. Il est comme hypnotisé par la femme qui suce son voisin. D’ailleurs, elle fait plus que le sucer, elle le gobe. De ses lèvres coule un filet de salive. ...
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