Médecine douce pour faiblesse masculine.
Datte: 28/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... une aire de stationnement ? Pas une aire normale. Elle avait précisé :
En profiter ? Pour l’instant, je tiens Hugo par la main et je la serre si fort qu’il proteste. Il me rassure :
— N’aie pas peur. Je ne te quitte pas.
On entend le grondement des vagues qui déferlent. Il ne fait pas vraiment nuit. Je regarde autour de moi, à peine rassurée malgré la présence d’Hugo.
— Allons par-là, il y a du monde.
C’est au bord du parking. Je connais bien cet endroit, il y a une table et des bancs pour pique-niquer. Trois silhouettes nous tournent le dos. Hugo nous fait avancer pour nous placer à côté d’eux. Un couple et un homme seul. Ils nous tournaient le dos car ils regardent vers la table et le banc ou un homme est assis. En arrivant, on découvre à ses genoux une femme et je comprends qu’elle lui fait une fellation. C’est étrange car tous deux sont habillés et seul le sexe de l’homme fait une tache blanche et brillante lorsque la femme le libère un peu. Juste à côté du couple, un autre homme qui regarde.
— Cela doit être le mari, me dit Hugo, à l’oreille, comme s’il avait entendu mon interrogation.
Il doit avoir raison car je vois l’homme déchirer ce qui est manifestement une enveloppe de préservatif et tendre ce qu’il extrait vers la suceuse. Elle s’en empare et on devine plus qu’on ne voit la capote être déroulée sur le mandrin.
Ensuite, je découvre et réalise que tout est organisé afin que le mari montre bien celle qui doit être son épouse se faire ...
... posséder par un autre. Il faut avoir réalisé cela pour comprendre ce qu’il fait.
Il se charge d’enlever la robe qui a été manifestement choisie pour se libérer par un zip complet. Elle est nue dessous. Elle est assez potelée mais ça lui va bien. Il la guide pour qu’elle se mette sur le petit côté de la table, nous la montrant ainsi de profil. Évidemment qu’elle se laisse faire ! Elle se place d’elle-même, car manifestement ce n’est pas sa première fois. Cette façon de poser sa lourde poitrine sur le bois de la table, de placer ses mains de part et d’autre comme pour se maintenir, d’écarter les jambes, de se cambrer et par-dessus tout de tourner son visage vers nous, nous les voyeurs auxquels ce couple libertin offre le spectacle. Elle nous regarde. J’ai même l’impression qu’elle me fixe, moi, mais c’est probablement la demi-obscurité qui me le fait croire.
Pourtant ce regard lorsque l’homme la pénètre ! Ce visage qui affiche des sensations. C’est perturbant, cela me rappelle la fois ou Hugo m’a prise dans la salle de bain et que pendant qu’il me baisait j’avais en face de moi, dans le miroir, une Julie que je ne connaissais pas, que je découvrais, image déformée de moi, la bouche entrouverte dont j’entendais sortir des mots que je ne pensais pas avoir prononcés, des plis aux coins des yeux, et ce regard brillant, ces paupières qui battaient au rythme de la possession…
Elle gémit. C’est troublant, dérangeant. À côté de nous, le couple s’embrasse, et même plus. En les ...