Médecine douce pour faiblesse masculine.
Datte: 28/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... acceptant les hommages humides de cet homme dont je ne vois plus que le crâne lisse.
Elle le branle. Le clapotis est excitant, preuve qu’elle ne lésine pas sur la salive.
Sa main, oui, sa main dans la mienne. Je tourne la tête. Il me sourit mais c’est un sourire qui montre son plaisir. Son regard est brillant comme… Comme probablement le mien.
Je ne peux retenir un cri alors que des doigts me fouillent. Un cri que je partage avec mon mari. Complice même en ce moment. La sexologue serait fière de nous.
Je jouis. Hugo gémit, mais de douleur, car j’ai enfoncé mes ongles dans sa paume pour ne pas crier.
— Chéri je… il me… C’est si bon… Excuse-moi.
Quelques mots, ce ne sont que quelques mots mais pour moi c’est comme un discours, moi la taiseuse, la retenue, la tout sous contrôle. Et c’est alors que je jouis d’un autre que je parle à mon mari. Mais il ne me fait pas de remarque, manifestement dans un état proche du mien.
Mais le crâne lisse laisse la place à un visage, une forêt de poils, un sexe horizontal. Un sexe bien vite recouvert de cette matière qui paraît disparaître à mesure qu’elle se déroule sur la bite. Des mains puissantes, des paluches de travailleur me saisissent, me tirent au bord du lit, écartent encore plus mes cuisses, m’ouvrant dans un V indécent. Un V dont la pointe est visée par une autre pointe, un gland champignon, énorme, qui disparaît à mon regard. Mais j’en sens sa réalité, sa présence alors qu’il trouve ma fente. Il en repousse ...
... les chairs. Je l’imagine bulldozer à qui rien de résiste. Et ma fente si elle fait une seconde de la résistance est bien vite submergée par ce qui se profile.
Je le sens. Oh oui, je le sens, pas comme lorsqu’Hugo me possède, non, différent, intrusif, puissant, envahissant, traçant son chemin, se frottant aux parois. Il est gros et avance en moi. Je me sens redevenue jeune femme, vagin étriqué, serré, angoissée, presque apeurée par ce sexe, ce premier sexe qui allait me prendre.
Il est en moi, énorme, et je suis presque étonnée de ne pas voir une bosse sur mon ventre. Mais non. Il n’est pas si gros… Quoi, quelques millimètres de plus, pas de quoi en faire un plat ! Pas de quoi me déchirer ! Alors pourquoi ? Pourquoi cette sensation énorme, délicieuse ? Est-ce parce qu’il est paré de vice et de perversité. Oh pas la sienne, mais la mienne et celle de mon mari. De cette perversité qui nous conduit à accepter cela.
Mon mari, vient de se faire chevaucher après s’être, lui aussi fait, recouvert par une capote déroulée avec délice par celle qui décidément a toutes les parures de la salope.
Il me baise. Il est attentif à mon désir. Il me surplombe, trapu, velus, puissant, porteur d’une sorte de brutalité que pourtant il n’applique pas.
Je tends mes mains vers son torse. Sa toison est douce, j’ai envie de m’y agripper mais je n’ose pas. Non, j’ose glisser mes mains dessus, passer l’arrondi de ses hanches, de ses reins et m’arrêter sur ses fesses, elles aussi délicatement ...