1. Médecine douce pour faiblesse masculine.


    Datte: 28/09/2023, Catégories: fh, fhh, couplus, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... la mettant au niveau de celle de Charles et lui de Martine ?
    
    Innover en ne refusant pas que la large main de Charles se referme sur la mienne ?
    
    Innover en me levant sous l’invitation de celui qui décide pour moi ?
    
    Innover en le suivant, constatant qu’Hugo et Martine sont derrière nous ?
    
    Innover en franchissant le seuil de leur chambre ?
    
    Accepter ce baiser, un simple baiser, mais depuis des années et des années aucun autre homme que mon mari, n’a posé ses lèvres sur les miennes !
    
    Sentir le sexe dur s’appuyer contre moi.
    
    Voir, à côté, une Martine entreprenante qui déjà détache la chemise, défait la ceinture, tire, tire encore avec une impatience manifeste pour extraire la tige de chair qu’elle a, juste en se montrant avec son mari, rendue rigide et orgueilleusement dressée. N’est-ce pas justice que ce soit elle qui en profite ?
    
    Sentir contre ma poitrine une main, détacher bouton après bouton jusqu’à ce que le tissu s’écarte et puisse être repoussé pour finir au sol.
    
    Regarder mon mari s’allonger sur le lit, offrant à Martine une tige qui vient se plaquer contre son ventre. Et Martine, goulue, la bouche déjà grande ouverte, engloutit le gland comme on gobe et moule une glace avec ses lèvres.
    
    Et moi que Charles regarde. Il a fait un pas en arrière pour manifestement profiter du spectacle, certes passif, que je lui offre. En vacances, je n’emporte pas de corset, porte-jarretelles ou autres accessoires féminins qui savent nous mettre en valeur. Je ...
    ... n’ai qu’un petit soutien-gorge, petit balconnet qui ne peut pas rivaliser avec les soutiens de Martine mais j’ai des seins plus petits et probablement plus fermes. Ma culotte est comme je le disais tout à l’heure, arachnéenne, et sa transparence ne fait que centrer le regard sur ma fente. Rien de plus ! Rien de moins. Dans le plus simple appareil comme on dit. Mais j’entends un :
    
    — Que tu es belle !
    
    Qui ne vient pas qu’à mes oreilles ! Je vois les regards du couple venir sur moi. Je vois le sourire de satisfaction de mon mari qui se sent indirectement félicité.
    
    Charles revient vers moi. Avec délicatesse, il me pousse sur le lit pour que je m’allonge. Me voici colocataire de mon conjoint. Comme moi, il assiste à la lente extraction de ma culotte, triangle minimaliste et ficelles légères.
    
    Charles repousse mes cuisses. Je lui laisse ouvrir le passage vers ma fente.
    
    Je suis impatiente. Mon Dieu, comment puis-je être dans cet état, attendant que cet homme me…
    
    — Ohhhhh !
    
    C’est comme une brûlure. Pourtant ce ne sont que ses lèvres qui se posent sur les miennes. Petites lèvres ciselées et grandes lèvres bombées.
    
    Une fraîcheur. Sa langue qui explore.
    
    — Ahhhh !
    
    C’est Hugo que Martine gobe au trois quarts, gourmande expérimentée. Gourmande qui fait partager les bruissements de sa salive qu’elle brasse avec ardeur, laissant suinter des filets le long de la tige.
    
    — Ohhhh !
    
    Il m’ouvre de toutes ses forces. Je suis cuisses grandes ouvertes, sans pudeur, ...
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