Médecine douce pour faiblesse masculine.
Datte: 28/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... transgression ? En tout cas, il comprend et fait remonter la vitre, laissant cependant le temps à l’homme de se retirer. J’attendais une protestation, mais non, il est fair-play ne prenant que ce qu’on lui offre.
— Viens ! me susurre mon complice.
Ceux qui ont déjà baisé aux places avant savent combien ce n’est pas facile. Pas facile mais faisable. Après quelques contorsions, je trouve le moyen de m’installer, car il a reculé le siège le plus loin possible tout en l’inclinant. Il n’a pas besoin de tenir son sexe. C’est un bâton qui se dresse vers le ciel et le ciel s’ouvre pour venir l’engloutir.
Il est dur, comme hier, preuve que ce parking est un médicament efficace.
C’est bon. Je me suis empalée sur lui dans une glissade qui dénonce mon excitation. Je ne peux plus le nier, pour moi aussi ce petit jeu est un allié.
Il me caresse la poitrine. Il sait tout de moi, mes points sensibles, mes zones érogènes, mes attentes, comment tordre mes tétons jusqu’à ce que la douleur devienne plaisir, comment placer ses mains sous mes fesses pour accompagner mes mouvements, comment m’embrasser dans une communion parfaite…
Il est résistant. Je coule déjà de plaisir qu’il ne paraît pas faiblir, et puis :
— Regarde qui est venu te voir.
Je tourne la tête. Je découvre le visage de celle qui m’a troublée hier. Elle est au niveau de la vitre et je comprends pourquoi lorsque je vois que le sexe de mon voyeur est tout près d’elle. Encore une fois, nos regards se croisent. ...
... Son sourire est malicieux. Elle se saisit du mandrin et commence à le sucer.
— Ce n’est pas son mari là ?
Un homme est de notre côté. Hugo a raison, c’est l’homme qui accompagnait la femme hier. Lui aussi, je croise son regard. Il a une vue plongeante sur nous. Il sourit aussi. Mais il n’est pas seul, d’autres regardent par le pare-brise.
Je me sens épiée. Quelques secondes de panique. Tous ces gens qui regardent ! Je suis nue, chevauchant certes mon mari, mais avec un mandrin dans la chatte et ils ont dû me voir m’empaler avec délice.
C’est le regard de la femme, son regard et ce clin d’œil alors qu’elle a la bouche déformée par ce qu’elle gobe, qui me libère et me redonne confiance.
Je reprends mes mouvements. Hugo vient à mon secours en m’embrassant goulûment. Je ferme les yeux.
— Non, Chérie, regarde-les. Ils sont là pour toi. Tu es si belle.
Je regarde. On me regarde. La femme suce le gros mandrin. Je m’empale sur celui de mon mari. Je bouge si fort que parfois mes cheveux touchent le toit.
Je regarde mais je ne les vois plus. Ils forment une foule indistincte.
C’est bon. Je suis toute mouillée. Je coule. Hugo me paraît encore plus gros.
Je jouis. J’ai envie de crier, mais je n’ose pas. Hugo me rejoint. Son foutre m’inonde. La vitre se couvre de traînées blanchâtres qui troublent la vision de la femme qui a sucé et fait cracher cet inconnu.
Le silence revient. Non pas que tout cela ait été bruyant, mais toutes ces présences faisaient comme ...