1. Entremets


    Datte: 26/09/2023, Catégories: ff, fff, fplusag, fépilée, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral 69, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... gorge, mon bouton se gonfle et réclame son dû. Il l’obtient soudain et mes sens trop longtemps réprimés se libèrent. Je me cambre et j’explose, je geins et je coule, je jouis. Trop vite !
    
    Je suis honteuse et frustrée comme un éjaculateur précoce. Colette sourit et rampe sur moi. Ses seins et sa peau épousent en douceur mon corps tandis qu’elle se fait légère pour parvenir jusqu’à ma bouche. Son baiser a le goût de ma mouille. J’aime lécher ma cyprine sur mes doigts, mais sur les lèvres d’une autre, sa saveur est incomparablement meilleure. Je ne les quitte que la dernière trace humide disparue.
    
    Colette m’invite à m’asseoir et s’allonge à ma place. À côté de nous, Anaïs a enfoui une main entre ses cuisses. Son bras gigote désespérément dans la fureur de sa branlette. Son visage exprime son dilemme entre ne rien perdre de nos ébats et satisfaire son propre désir. Mon amante ne lui facilite pas le choix.
    
    — Venez sur moi, Chantal, murmure-t-elle. Sur ma figure…
    
    Un soixante-neuf, mais bien sûr ! J’ai pratiqué la figure, évidemment, quasiment toujours en étant dessous. J’apprécie la délicatesse de Colette qui ne m’impose pas tout de go la vue de son trou du cul. Elle ne se prive pas, par contre, de l’ouvrir, mon cul. Je sens ses pouces sur mes lèvres et ses doigts sur mes fesses. Elle m’écarte comme une figue, une grosse figue qui révèle tous ses détails intimes. Anaïs ne doit rien en ignorer. C’est délicieusement gênant et horriblement excitant. J’en rajoute en ...
    ... creusant mes reins. Imaginer, non, savoir que cette gamine presque inconnue reluque ma moule écartelée et mon œillet écarquillé me rend folle.
    
    La touffe grise, l’opulence et le parfum de la chatte sous mon nez ne font rien pour me calmer. Il faut que je goûte à ce sexe que Colette m’offre. Elle fouille déjà dans le mien de sa langue. Je ne sais comment m’y prendre pour lui rendre la politesse, je débute dans le gougnottage. Alors, je me règle sur ses caresses. Je lèche quand elle lèche, j’aspire quand elle aspire, je tète quand elle tète. Je ne dois pas être trop mauvaise élève, ses grognements de plaisir qui font écho aux miens me rassurent.
    
    Les odeurs et les saveurs sexuelles sont enivrantes. Je m’enhardis, j’improvise. Le moelleux des muqueuses contente ma langue, la cyprine du con ravit mon nez. Colette prend mes petites lèvres en bouche et les mastique. Je l’imite les yeux fermés. Las ! Je ne peux gober qu’une seule de ses nymphéas à la fois. Tant pis ! Je l’engoule avec enthousiasme, je la tire, je la mordille, je la flatte de mon mieux… Tiens ? Je sens un creux dans cette chair élastique et goûteuse. Je n’y crois pas, d’abord. J’abandonne ma proie pour sa jumelle. L’étonnante sensation est la même. Je veux comprendre.
    
    Un grognement, de dépit cette fois, accompagne mon retrait. J’ouvre les yeux, je mets les doigts. Oui, c’est un trou qui orne le milieu de ces nymphéas que j’honore, comme sur un lobe d’oreille, en plus gros. Colette m’avait dit qu’elle avait gardé ...
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