1. Chalet 1


    Datte: 23/09/2023, Catégories: fh, Collègues / Travail caresses, pénétratio, mélo, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... la fenêtre. Elle retire donc tous ses vêtements un à un, guettant mes regards avides du coin de l’œil.
    
    — Et vous, demande-t-elle ?
    — Moi je n’ai rien promis.
    — C’est vrai, mais vous pourriez faire un effort.
    — Pas tout de suite. Pour l’instant je jouis du privilège de voir évoluer nue la première femme que j’invite dans mon « chez-moi ». Et je trouve ça très érotique et très excitant, plus encore si je reste habillé.
    
    Nous rions beaucoup, elle me traite de lubrique, moi de femme légère. Nous passons au salon pour boire un café, elle veut goûter un peu de liqueur de Genépi, mon digestif préféré, et ses yeux brillants m’indiquent qu’elle est un peu pompette. Elle doit également être passablement excitée par la situation, car, lorsqu’elle vient dégrafer mon pantalon, elle laisse une jolie trace humide en forme de cœur sur les coussins. Nous entamons notre première nuit de folie érotique au salon, la poursuivons sur la table du dîner, puis sur les plans de travail de la cuisine avant que je ne la monte à la chambre empalée sur mon dard comme dans sa douche précédemment. Ainsi presque toutes les pièces résonnent du clapotis de nos sexes, de ses gémissements et de mes râles orgasmiques. Je profite pleinement de ce corps offert, un brin vulgaire par ses formes excessives, mais terriblement sensuel et excitant.
    
    Notre fusion sexuelle dure jusque tard dans la nuit et ne cesse que par épuisement. Il est tard aussi quand nous nous réveillons et le soleil est déjà haut. ...
    ... J’ouvre les volets de la chambre, un héron est posé sur le lac, il doit pêcher lui aussi. J’appelle ma compagne, elle vient l’observer, je lui donne une paire de jumelles toujours prêtes dans le bureau voisin. Le soleil caresse son corps derrière le triple vitrage, accentuant ses reliefs et ses creux. Tout n’est en elle que succession et enchevêtrement de courbes, on pourrait la dessiner avec un compas. J’en fais profiter mes mains qui s’égarent un peu partout. Quand elles saisissent par derrière la pointe de ses seins, elle trépigne d’abord sans poser les jumelles, puis s’agace un peu, mais gentiment et me dit :
    
    — Si on allait d’abord boire un café ?
    — Dans votre phrase, je ne retiens que le mot important : « d’abord » !
    
    Nous descendons en riant, je lui prête le peignoir d’une de mes filles. Elle se plaque tout de suite contre le poêle de masse qui est encore tiède, trouvant cela incroyable. Normal, la dernière flambée ne date que de quatorze heures environ. Nous en ferons une autre avant la nuit, car toute la journée le soleil va bien chauffer. Je lui explique comment j’ai dû calculer l’avancée du toit et la largeur du balcon, sur le principe du cadran solaire, pour que l’hiver le soleil plus bas pénètre jusqu’au fond des pièces et que l’été, le soleil étant plus haut, le toit et le balcon mettent les ouvertures à l’ombre sauf tôt le matin et tard le soir, au lever et au coucher, et là ce sont les sapins plantés de chaque côté de la maison qui prennent le relais. Elle ...
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