Chalet 1
Datte: 23/09/2023,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
caresses,
pénétratio,
mélo,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... à la hauteur de la mienne. À ma première ruée en elle, elle ne tarde pas à atteindre un premier orgasme, certainement dû au simple bonheur de sentir enfin à nouveau un sexe d’homme dans son ventre. J’y lâche très vite également d’interminables jets de semence contenue depuis de trop longs mois. Cette première étreinte libératoire nous détend quelque peu et nous permet de mieux nous consacrer ensuite au plaisir de l’autre. Nos mains et nos bouches participent grandement à ce plaisir, elle suce divinement bien, accueillant mon gland tout au fond de sa gorge, et elle parvient même à laisser une trace de rouge à lèvres sur la peau de mon ventre, juste à la base de mon pénis, ce dont elle est très fière. Elle participe à tout et accepte tout. Lorsque je veux la sodomiser, malgré son fessier rebondi, sa petite rosette s’avère très serrée. Je crains de lui faire mal, malgré l’abondante lubrification que je tire de son vagin encore copieusement rempli. C’est elle-même qui, me sentant positionné, mais hésitant, lance son postérieur d’un mouvement sec sur ma queue et s’empale jusqu’à moitié. La suite est sans problème et comme nous sommes à ce moment en travers du lit, je lui dis de regarder dans le miroir de son armoire tout ce qui entre dans ce si petit trou. Elle rit un peu à cette remarque, mais surtout ne quitte plus le miroir des yeux, très excitée par cette vision pornographique de ses propres ébats. Elle jouit ainsi à trois reprises avant que je ne me répande à nouveau en ...
... elle.
Je ne parviens pas à me rassasier de son petit corps pulpeux et doux, un peu comme ce que l’on ressent au contact d’un bébé : où que l’on pose la main, on a la même envie de pétrir, d’embrasser, de sucer. Je lui suce d’ailleurs les orteils, lui disant qu’ils ressemblent à des saucisses à apéritif ce qui, en plus de la chatouiller, la fait hurler de rire. Je la suis sous la douche, pour le seul plaisir de la savonner et de la tripoter encore partout. Elle aussi me savonne, si bien qu’elle redonne du tonus à mon sexe et elle en profite pour me sucer à nouveau avec la même dextérité, enveloppant mon gland de sa langue habile, le fouettant à petits coups juste sur le méat, griffant légèrement ma hampe et mes testicules. Je la soulève dans mes bras et l’empale debout sur ma queue au garde à vous. Enserrant mon cou et mes hanches, elle accompagne mes coups de boutoir que je cadence en crochetant mes doigts dans son anus dilaté. Je veux jouir une dernière fois sur son visage et ses gros seins et j’y prends, malgré l’épuisement, un plaisir intense. Il est près de six heures, elle doit aller récupérer ses enfants, je la quitte après un baiser amoureux en confirmant notre rendez-vous du vendredi.
À l’heure dite, le vendredi, je gare ma voiture devant chez elle. Elle sort très vite, verrouille sa porte et s’installe à côté de moi. Elle porte la même petite robe avec une veste en plus, et un petit sac pour ses effets personnels. Elle attend la sortie de la ville pour se permettre ...