Treize quatorze quinze - Histoires de Sexe

Treize quatorze quinze

... les couples vont dans l’eau, et plus nous y allons, plus c’est en mode collé serré. Alors que nous nous enfonçons dans l’eau, Angèle me susurre :

— Ça ne te tente pas de me refaire le coup du magasin ?
— T’es franchement une allumeuse de première ! Tu mériterais que je te viole sur place, mais tu serais trop contente !
— Hihihi !

Je reconnais néanmoins que c’est très tentant. C’est alors que me vient une idée qui pourrait nous satisfaire tous les deux.

— Avançons dans l’eau jusqu’à ce que tes lolos flottent…
— T’as quoi dans l’idée ?
— Avançons, s’il te plaît…

Elle obéit. Quelques secondes plus tard, je lance :

— Parfait ! Ne bouge plus, mon Ange ! J’adore voir tes seins osciller au gré des vagues…
— Si tu le dis…

Je me plaque contre son dos, capturant ses nénés flottants qui semblent être devenus des pirogues ventrues. J’ai la sensation d’avoir en main des grosses oranges presque indépendantes de leur propriétaire.

— Oh-oh, ça t’excite, gros saligaud !
— Ah ça… On ne peut rien te cacher !

Et pour cause : ma verge bien dure cogne contre les fesses de ma femme du jour. Angèle se met à glousser. Tandis que je pelote ses lolos flottants, je me frotte impudiquement sur les fesses de ma partenaire. Celle-ci remue allégrement du popotin, m’indiquant de façon claire et nette qu’elle ne refuse pas mon excitation à son propos.

— Il ne faut pas t’en promettre, n’est-ce pas, mon ange-démon !
— Promettre, c’est facile. Tenir ses promesses, c’est autre ...

... chose.
— Je te donne raison… Là, tout de suite, je ne peux pas te promettre grand-chose, vu les circonstances.
— Une petite promesse quand même ?
— Une petite, pas de souci…

J’abaisse mon maillot de bain pour dégager ma verge qui en profite pour venir cogner dans le sillon fessier d’Angèle. La ficelle du string étant fine, c’est comme si ma nouvelle femme ne portait rien. Je fléchis sur mes jambes pour mieux me positionner, mais je n’arrive pas à trouver correctement l’entrée de sa chatte. Ou pour être plus précis, je dérape à chaque fois.

Tandis qu’elle se commence à se masturber, Angèle se moque :

— Hihihi, t’as un problème ?
— C’est curieux… on dirait que vouloir le faire dans l’eau ne facilite pas les choses…
— Pourtant, depuis des millions d’années, ça n’empêche pas les poissons de baiser !
— Ils ne baisent pas comme nous : la femelle pond des multitudes d’œufs, puis le mâle ensemence le tout. Pas de pénétration comme pour nous.
— Ah oui… c’est moins amusant…

Je retente à nouveau, mais une fois de plus, ça ne veut pas le faire…

— Ah et puis merde !

Ma verge ripe à la verticale et part se caler plus haut. Je constate avec surprise que mon gland s’est légèrement enfoui quelque part, et je comprends très vite où je me suis niché…

À nouveau, Angèle se moque de moi :

— Par contre, pour ce trou-là, t’as aucun problème !
— Il faut croire qu’il est plus grand que l’autre…
— T’insinues quoi ?
— Qu’on est très bien dedans !

Je donne un coup de ...