1. Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale (41) : « Diem perdidi »


    Datte: 12/09/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... qui, pour la première fois de sa vie, a trouvé une mère et qui, elle aussi, a tant besoin de Tullia.
    
    Puis elle lui dit :
    
    • Titus reviendra vers toi. Tu es sa femme et tu l’aimes, malgré ses lâchetés et ses trahisons. Tu dois l’épouser !
    
    • C’est toi, ma femme ! Tu ne m’aimes plus ? Je ne te plais plus ? Je suis prête à être ton ombre, ta servante, ton esclave !
    
    Tullia se met à genoux, ses bras entourent les jambes de son amante.
    
    • Je n’ai jamais aimé aussi fort que je t’aime, Tullia et je vais te le montrer !
    
    • Avant je veux te demander pardon. C’est mon comportement qui a contribué à ton rejet. J’ai exagéré. Tout cela est de ma faute. Il est juste que mon cœur soit brisé !
    
    • Cesse de dire des bêtises ! Je n’avais aucune chance d’être acceptée par les Romains. Ils me haïssent comme ils ont haï la grande Cléopâtre. J’ai été présomptueuse de croire que je pouvais réussir. Je veux aussi te dire que, depuis que je te connais, je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie. Je t’aime Tullia, mon cœur est à toi !
    
    Bérénice s’approche de sa maitresse. Elle la prend dans ses bras, fait tomber la tunique de Tullia. Tullia hoquète, les larmes lui coulent, les baisers de Bérénice sèchent ses pleurs. Ses baisers sont torrides, sa langue prend possession de celle de Tullia, alors que ses mains caressent chaque centimètre de peau de celle qu’elle aime à la folie. Tullia a les yeux fermés, sentant monter son excitation. Bérénice descend lentement vers la vulve de sa ...
    ... femme, s’attardant longuement sur les seins de son amante :
    
    • Comme j’aime ta poitrine ma Tullia ! Te seins m’ont toujours fasciné !
    
    Les doigts de Bérénice fouillent la chatte de Tullia, branlent son clito. Bérénice pousse son amante vers le lit et se place entre ses cuisses. Depuis que Tullia l’a initiée au saphisme, dix ans auparavant à Alexandrie, Bérénice a bien changé. C’est elle qui prend l’initiative. Elle veut entièrement se dévouer au plaisir de Tullia. Sa langue fouille les moindres recoins de la chatte de la Romaine. Tullia perd tout contrôle :
    
    • Oh mon amour, tu me tues ! Bouffe-moi la chatte. Oh ta langue est diabolique. Attention, je vais gicler !
    
    Bérénice ne lâche pas prise. Elle veut boire le nectar de Tullia. Celle-ci se laisse aller et sa cyprine souille le visage de son amante.
    
    Les deux tribades sont dans les bras l’une de l’autre, Bérénice caresse les cheveux de Tullia, qu’elle appelle « mon bébé ». Tullia a envie, à son tour, de faire jouir Bérénice. Celle-ci se montre directive :
    
    • Je n’en n’ai pas fini avec toi, femme ! Ce soir, je suis le fututor. Je vais te baiser !
    
    Bérénice commence par la pratique des ciseaux, son clitoris se frottant contre celui de Tullia. Mais elle veut plus et plus fort. Elle tire sur une cordelette pour appeler une servante. C’est la fidèle Marcia qui apparait, heureuse de voir sa maitresse épanouie dans les bras de celle qu’elle aime.
    
    • Marcia, amène-moi « Memnon ». Je vais baiser ma femme !
    
    Marcia aide ...
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