1. Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale (41) : « Diem perdidi »


    Datte: 12/09/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... Bérénice à ajuster autour de sa taille le monstrueux gode-ceinture hérité de Cléopâtre et de Messaline. Elle commence par prendre Tullia face à face, en mettant ses jambes sur ses épaules, pour que la pénétration soit le plus profond possible. Puis elle la fait se mettre à quatre pattes, pour la baiser en levrette. Bérénice se déchaine, se montre d’une incroyable brutalité. Elle ne baise pas Tullia, elle la défonce, elle la démonte !
    
    Tullia enchaîne les orgasmes, la sueur coule de son front, sa bouche se tort, ses yeux se voilent. Bérénice marque les épaules de Tullia avec ses dents, lui fait des suçons dans le cou, la laboure avec ses ongles. Loin de se plaindre, Tullia lui demande de continuer, de la baiser plus vite, plus fort, plus profond !
    
    Bérénice se met à insulter sa bien-aimée :
    
    • Tu aimes ça te faire mettre par une belle queue, petite salope !
    
    • Oh oui, J’aime ça !
    
    • Je pense à toutes les bites que tu t’es prise depuis toutes ces années, des centaines, plutôt des milliers
    
    • Oh oui, j’en aurais voulu davantage, tu sais !
    
    • Oui je sais. Tu es une putain. Tu es Danaé, tu es Néférou !
    
    • Oui je suis une putain !
    
    • Tu as aimé ça, n’est-ce pas, à Suburre, à Akhnîm ? Et le voyage sur le Horus !
    
    • Oh oui, j’ai adoré !
    
    • Tu n’en n’as jamais assez ! Tu es une chienne, une catin, mais je t’aime ! Jouis, mon amour ! Jouis ! Jouis !
    
    Tullia se relâche et son orgasme est une délivrance. La jouissance ultime de Tullia est d’une violence inouïe, ...
    ... mélange de souffrance et de plaisir. Marcia dira à Fausta qu’elle n’a jamais entendu Tullia couiner ainsi comme une louve en chaleur.
    
    Après une telle séance, les deux femmes, brisées par la violence du plaisir, vont s’endormir dans les bras l’une de l’autre. Le plaisir de Tullia a suffi à déclencher un orgasme chez Bérénice, qui, au réveil de son amoureuse, la laissera enfin s’occuper d’elle, récompense accordée en échange du plaisir inouï que Bérénice a donné à sa compagne.
    
    Cette étreinte a été d’une rare brutalité, Bérénice étant sortie de ses habitudes et de sa nature pour le plus grand plaisir de Tullia. Les jours suivants, les deux femmes se montrent insatiables, elles ont faim l’une de l’autre, mais sont infiniment tendres, faisant l’amour avec beaucoup de douceur.
    
    Tullia fait preuve en apparence d’un immense courage en accompagnant Bérénice au port de Puteoli, où un navire doit ramener la princesse dans sa patrie. L’une et l’autre retiennent les larmes, mais ne veulent pas se séparer, se serrant dans les bras, se couvrant de baisers, amoureuses comme au premier jour, il y a dix ans, à Alexandrie. Il faut que le capitaine du navire insiste sur la nécessité de prendre la mer, arguant que, en cette fin de juillet, la saison est déjà très avancée, pour que Tullia consente à lâcher sa Bérénice, sur un ultime baiser, promettant de se revoir, se répétant leur amour éternel.
    
    Ce n’est que lorsque le navire est loin que Tullia laisse éclater son désespoir infini. Sa ...
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