Justine et William
Datte: 10/09/2023,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
fsoumise,
hdomine,
soubrette,
contrainte,
Masturbation
massage,
nopéné,
sm,
portrait,
Auteur: Boonzardos, Source: Revebebe
... le Comte sera ravi. Donnez-moi le mouchoir maintenant, dit-il en lâchant doucement Justine.
La jeune femme se redressa et eut un geste pour remettre en ordre sa tenue. Elle n’eut pas le temps de vérifier sa coiffure que William avait fait de nouveau glisser le mouchoir à l’autre bout de la table, l’invitant à retourner le chercher.
Ayant appris la leçon, elle alla au plus proche et inclina son buste sur la table, écrasant ses seins sur le plateau. William se positionna alors derrière elle et plaquant son corps contre le sien ordonna :
— Récupérez-le lentement. Il me faut vérifier la justesse de votre posture ».
Ses yeux rivés sur les fesses découvertes de Justine, il s’empara de ses hanches en martelant :
— Bien. Très bien. Très très bien.
Il opéra un petit mouvement de haut en bas et la jeune fille ne put cette fois ignorer le frottement contre sa culotte de la bosse présente au niveau du bas-ventre de William. Il la caressait. Il posa alors ses mains bien à plat sur les fesses de Justine comme pour les pétrir lorsque celle-ci tressaillit :
— Monsieur, mais que faites-vous ?
— N’ayez aucune inquiétude, Mademoiselle, il me faut aussi apprécier la douceur et la texture de votre épiderme, Monsieur le Comte est un homme très délicat.
Il malaxait ses fesses, lentement. Justine, cambrure offerte, se taisait. Seuls les frottements de la peau contre la peau et leurs souffles étaient perceptibles. Il s’écarta un peu d’elle pour permettre à ses doigts ...
... d’aller plus bas en une douce exploration.
— Monsieur, s’il… s’il vous plaît …
— Allons Mademoiselle, allons, cela fera partie de vos tâches.
— Mais… Je…
— Oui, voilà, comme ça, dit-il en faisant glisser ses doigts le long de l’entrejambe de Justine. Il atteignait maintenant le périnée et progressait millimètre après millimètre.
— C’est parfait, Mademoiselle, c’est parfait, s’exclama-t-il tandis que ses doigts courraient légèrement sur le fin tissu et découvraient la forme de sa fente.
Justine, résignée, saisissait maintenant toute la portée des paroles de William. Le majordome s’écarta un peu et se défit de sa main restée libre, l’autre bien trop occupée à s’activer en douceur entre les jambes de la jeune femme. Son sexe était déjà dur et il se caressa lentement en contemplant l’arrière-train de Justine. Puis les va-et-vient de son pénis dans sa main prirent vitesse et vigueur, il commença à émettre de sourds grondements, sa respiration s’accélérait, de fines gouttes de sueur perlaient à son front. Le paroxysme du plaisir approchait.
Il lâcha enfin plusieurs jets de sperme qui atterrirent sur la cuisse de Justine, juste au-dessus de son bas avec un grondement rauque.
Après cela, le majordome recouvrit rapidement ses esprits. Il se rajusta et s’exclama :
— Mademoiselle, vous êtes bénie ! Soyez la bienvenue dans cette maison, votre service vient de commencer.
Tournant les talons d’un pas vif, il disparut par la porte dérobée qui l’avait conduit ici, laissant ...