Justine et William - Histoires de Sexe

Justine et William

... attendons de votre part doit être impeccable, la posture à adopter doit l’être tout autant.

Il se plaça derrière elle en effleurant de son bas-ventre l’entrejambe de la jeune-femme :

— Permettez-moi de vous montrer.

Il posa une main sur le dos de Justine et pressa légèrement afin qu’elle se penche davantage, dévoilant ainsi un peu plus ses fesses séparées par la mince bande de dentelle de la culotte.

— Voilà, comme ça, vous pouvez attraper le mouchoir.

Elle allongea le bras ce qui eut pour effet de remonter encore un peu sa robe, la main de William toujours posée sur son dos.

— Ne vous formalisez pas, Mademoiselle, je vais corriger votre posture. Si l’efficacité, le dévouement et la perfection sont demandées, l’élégance l’est également. La beauté du geste, si je puis dire.

Disant cela, William posa son autre main sur la hanche de Justine et l’attira délicatement vers lui, faisant glisser vers l’arrière le bassin de la jeune-femme, amenant leurs cuisses à se toucher. Le haut de la culotte de Justine était visible et un peu de peau apparaissait au-dessus de celle-ci.

— Voilà, c’est bien. Je me permettrai de corriger votre position aussi souvent que nécessaire, enchaîna-t-il alors qu’il commençait un lent mouvement de rotation permettant à la bosse qui commençait à se former dans son pantalon d’entourer l’intimité de Justine à peine couverte de dentelle.
— Monsieur, ce n’est pas très convenable et je…, se défendit-elle.

Il interrompit ses lents ...

... mouvements, et les mains toujours posées sur le corps de la jeune femme déclara :

— Ce qui est convenable ici ne l’est pas forcément à l’extérieur et l’inverse peut être tout aussi vrai. Si vous êtes mal à l’aise avec les instructions concernant les postures à adopter lors de vos différentes tâches, il vous faudra m’en parler. Est-ce que tout va bien ? s’enquit-il après s’être écarté d’elle et l’avoir invitée à se redresser.
— Ça ira, monsieur … Je… Oui tout va bien.
— Bien, poursuivons alors.

Il récupéra le mouchoir que Justine lui tendait en silence et le jeta à ses propres pieds.

— Ramassez ce mouchoir, ordonna-t-il.

Justine plia les jambes afin de ramasser le petit carré de tissu.

— Non, pas comme ça, l’interrompit William, gardez les jambes droites, de l’élégance, du style.

Il s’approcha d’elle et, se postant à ses côtés, une main de nouveau posée sur son dos et l’autre en haut de sa cuisse, à la limite de la fesse. La protubérance qui déformait un peu son pantalon faisait à peine crisser le bas de nylon de la jeune femme. Et Justine, tout à la fois décontenancée et soucieuse de satisfaire le majordome suivait ses instructions. Il la contraignit ensuite à adopter la position avec les jambes tendues, le buste penché, les fesses bien visibles à peine couvertes par le tanga.

— Voilà, une belle position, un beau geste.

Il remonta sa main sur sa fesse, semblant vouloir ajouter une dernière petite touche.

— Parfait, Mademoiselle, c’est parfait, Monsieur ...